Sur la photo ci-jointe, le Président de l'Association Sénégalaise pour le Suivi et l'Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), Ansoumana Dione est habillé en malade mental. Et c'est, selon ses explications "pour lancer un important message et pour dire: "Nous sommes les malades mentaux"".
Ce "qui signifie, mettons-nous dans leur peau, à leur place, vivons, sinon, partageons leurs peines et leurs multiples souffrances. Comme ce fût le cas avec 'Je suis Charlie", ce nouveau slogan d'Ansoumana DIONE appelle chaque citoyen sénégalais à se montrer sensible et solidaire à l'enfer que vivent ces malades ne jouissant pas de leurs facultés mentales. Ce, en commençant par le Président de la République, son Excellence Monsieur Macky SALL qui, jusqu'ici, tarde à 'intervenir pour que le Centre d'Encadrement et de Traitement, construit à kaolack en 2004 par le régime de Maître Abdoulaye WADE, soit restitué à l'ASSAMM qui l'a conçu depuis l'an 2000, pour la prise en charge et la réinsertion sociale des malades mentaux errant à travers le pays, au nombre de plus de 2192", communique le président de l'ASSAMM.
Et sert-il: "c'est en 2013 que le Ministre de la Santé et de l'Action Sociale, le Professeur Awa Marie Coll SECK l'a arbitrairement confisqué pour essayer de le transformer en vain en un centre de formation avicole, ce qui n'est pas sa vocation. D'ailleurs, jusqu'ici, la structure n'est pas fonctionnelle et ne peut même pas disposer d'électricité puisque le terrain de quatre (4) hectares sur laquelle elle a été construite, est au nom de l'ASSAMM qui s'est battue, seule, pour l'obtenir légalement en 2001 de la Commune de kaolack, alors dirigée par Maître Ibrahima BEYE".
Du coup, enfonce-t-il le clou: "Cette réalité est largement suffisante pour démontrer que ce centre appartient à Ansoumana DIONE et compagnie qui, malheureusement, ne peuvent plus y accéder depuis lors, par ce grave abus de pouvoir, condamné par tout le monde".
C'est la raison pour laquelle, ils réclament "les clefs de leur Siège afin de pouvoir y assurer correctement, et la prise en charge médicale gratuite et la réinsertion sociale, à tour de rôle, de ces nombreux malades mentaux dont la présence dans les rues, constitue un réel danger pour eux-mêmes, d'abord et ensuite; pour la sécurité publique...".
Ce "qui signifie, mettons-nous dans leur peau, à leur place, vivons, sinon, partageons leurs peines et leurs multiples souffrances. Comme ce fût le cas avec 'Je suis Charlie", ce nouveau slogan d'Ansoumana DIONE appelle chaque citoyen sénégalais à se montrer sensible et solidaire à l'enfer que vivent ces malades ne jouissant pas de leurs facultés mentales. Ce, en commençant par le Président de la République, son Excellence Monsieur Macky SALL qui, jusqu'ici, tarde à 'intervenir pour que le Centre d'Encadrement et de Traitement, construit à kaolack en 2004 par le régime de Maître Abdoulaye WADE, soit restitué à l'ASSAMM qui l'a conçu depuis l'an 2000, pour la prise en charge et la réinsertion sociale des malades mentaux errant à travers le pays, au nombre de plus de 2192", communique le président de l'ASSAMM.
Et sert-il: "c'est en 2013 que le Ministre de la Santé et de l'Action Sociale, le Professeur Awa Marie Coll SECK l'a arbitrairement confisqué pour essayer de le transformer en vain en un centre de formation avicole, ce qui n'est pas sa vocation. D'ailleurs, jusqu'ici, la structure n'est pas fonctionnelle et ne peut même pas disposer d'électricité puisque le terrain de quatre (4) hectares sur laquelle elle a été construite, est au nom de l'ASSAMM qui s'est battue, seule, pour l'obtenir légalement en 2001 de la Commune de kaolack, alors dirigée par Maître Ibrahima BEYE".
Du coup, enfonce-t-il le clou: "Cette réalité est largement suffisante pour démontrer que ce centre appartient à Ansoumana DIONE et compagnie qui, malheureusement, ne peuvent plus y accéder depuis lors, par ce grave abus de pouvoir, condamné par tout le monde".
C'est la raison pour laquelle, ils réclament "les clefs de leur Siège afin de pouvoir y assurer correctement, et la prise en charge médicale gratuite et la réinsertion sociale, à tour de rôle, de ces nombreux malades mentaux dont la présence dans les rues, constitue un réel danger pour eux-mêmes, d'abord et ensuite; pour la sécurité publique...".