Mamadou Seck nouveau président de l'Assemblée nationale
Le limogeage-démission de Macky Sall à la tête de l’Assemblée nationale a donné cours à beaucoup de supputations sur son successeur. Parmi tous les noms qui ont été annoncés, celui de Mamadou Seck est finalement sorti. Le député-maire de Mbao qui a été candidat du groupe parlementaire de la majorité a été élu haut la main. 130 députés ont voté pour tandis que 3 ont voté contre. C’est dans un hémicycle qui a vibré d’acclamations que son élection au perchoir a été annoncée.
Le nouveau président de l’Assemblée a fait comprendre à ses pairs que «les réformes en cours devront être accélérées notamment celles relatives au règlement intérieur, à nos conditions de vie et de travail, ainsi que celle de l’ensemble des catégories de personnels de notre institution». Le deuxième président de la onzième législature a souligné que «sur ce dernier point, le chef de l’Etat, recevant les membres du groupe parlementaire de la majorité, nous a déjà assuré son soutien». Le dixième président de l’Assemblée nationale depuis l’indépendance du Sénégal a tenu à ajouter à l’endroit de ses collègues que «votre confiance me réjouit certes, mais j’insiste surtout à aller de l’avant avec vous, avec le sens élevé de nos responsabilités, un engagement de toutes les instances et une claire conscience de ce que nous représentons, d’où nous venons et de ne rien oublier». Mamadou Seck a, ainsi indiqué qu’ils respecteront, à cet effet, leur mandat, remplissant certes dès lors et pleinement notre mission dans cette auguste institution.
Le député-maire de Mbao était jusque-là président de la commission de l’économie générale, des finances, du plan et de la coopération économique de l’institution parlementaire. Apparemment l’homme de la situation après le secousse que l’Assemblée nationale a connu avec l’affaire Macky Sall qui a fini par démissionner rendant tous les postes qu’il a obtenu grâce au Parti démocratique Sénégalais (Pds, au pouvoir) , Mamadou Seck a, depuis 2002 était plusieurs fois membre du gouvernement.
L’actuel président de l’Assemblée avait commis un acte rare dans les sphères de décisions africaines. Démissionner de son propre gré pour mettre à l’aise la justice de son pays. C’était le 23 mai 2001 alors qu’il était nommé ministre de l’Economie et des finances. Accusé de blanchiment d’argent dans l’affaire qui opposait la Société de manutention et de transit (Somicoa), dont il était le Directeur général (Dg) en 1985 au Commissariat à l’aide alimentaire, il a été finalement blanchi par la justice. Ce qui lui a permis de revenir aux affaires.
Le nouveau président de l’Assemblée a fait comprendre à ses pairs que «les réformes en cours devront être accélérées notamment celles relatives au règlement intérieur, à nos conditions de vie et de travail, ainsi que celle de l’ensemble des catégories de personnels de notre institution». Le deuxième président de la onzième législature a souligné que «sur ce dernier point, le chef de l’Etat, recevant les membres du groupe parlementaire de la majorité, nous a déjà assuré son soutien». Le dixième président de l’Assemblée nationale depuis l’indépendance du Sénégal a tenu à ajouter à l’endroit de ses collègues que «votre confiance me réjouit certes, mais j’insiste surtout à aller de l’avant avec vous, avec le sens élevé de nos responsabilités, un engagement de toutes les instances et une claire conscience de ce que nous représentons, d’où nous venons et de ne rien oublier». Mamadou Seck a, ainsi indiqué qu’ils respecteront, à cet effet, leur mandat, remplissant certes dès lors et pleinement notre mission dans cette auguste institution.
Le député-maire de Mbao était jusque-là président de la commission de l’économie générale, des finances, du plan et de la coopération économique de l’institution parlementaire. Apparemment l’homme de la situation après le secousse que l’Assemblée nationale a connu avec l’affaire Macky Sall qui a fini par démissionner rendant tous les postes qu’il a obtenu grâce au Parti démocratique Sénégalais (Pds, au pouvoir) , Mamadou Seck a, depuis 2002 était plusieurs fois membre du gouvernement.
L’actuel président de l’Assemblée avait commis un acte rare dans les sphères de décisions africaines. Démissionner de son propre gré pour mettre à l’aise la justice de son pays. C’était le 23 mai 2001 alors qu’il était nommé ministre de l’Economie et des finances. Accusé de blanchiment d’argent dans l’affaire qui opposait la Société de manutention et de transit (Somicoa), dont il était le Directeur général (Dg) en 1985 au Commissariat à l’aide alimentaire, il a été finalement blanchi par la justice. Ce qui lui a permis de revenir aux affaires.
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