Les commerçants de la société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS) ont été pris au dépourvu, ce lundi matin avec un drame qui s’est déroulé aux environs de 7h à l’abattoir de Seras. Un homme âgé de 44 ans du nom d’Abdou Diaw a été sauvagement tué par son collègue de travail, Abdou Mbaye.
Ce dernier rapporte Dakaractu qui aurait eu un contentieux avec le défunt n’a pas hésité à l’égorger dans la salle bovine avant de prendre la fuite avec son arme.
Selon le chef du personnel des abattoirs Mamadou Talla, « d’habitude, ces crimes odieux étaient enregistrés en dehors de l’enceinte, notamment aux environs des abattoirs ».
Il souligne, également, qu’Abdou Diaw, la victime, de même que son bourreau étaient des « commerçants qui vendaient des abats de bœuf. Ils ne faisaient pas partie du personnel de la SOGAS mais travaillaient indirectement avec la société. »
« Il y’a plusieurs agents de la SOGAS qui viennent gagner leur vie dans ces abattoirs. Et de préciser, depuis que les abattoirs à la SOGAS ont commencé à fonctionner en 1957, un tel crime n’y a jamais été signalé » rapporte Mamadou Talla.
La police technique et scientifique étaient sur les lieux pour rechercher l’identification de l’auteur du crime. Le bourreau est actuellement dans la nature. Les éléments de la police sont à ses trousses.
Ce dernier rapporte Dakaractu qui aurait eu un contentieux avec le défunt n’a pas hésité à l’égorger dans la salle bovine avant de prendre la fuite avec son arme.
Selon le chef du personnel des abattoirs Mamadou Talla, « d’habitude, ces crimes odieux étaient enregistrés en dehors de l’enceinte, notamment aux environs des abattoirs ».
Il souligne, également, qu’Abdou Diaw, la victime, de même que son bourreau étaient des « commerçants qui vendaient des abats de bœuf. Ils ne faisaient pas partie du personnel de la SOGAS mais travaillaient indirectement avec la société. »
« Il y’a plusieurs agents de la SOGAS qui viennent gagner leur vie dans ces abattoirs. Et de préciser, depuis que les abattoirs à la SOGAS ont commencé à fonctionner en 1957, un tel crime n’y a jamais été signalé » rapporte Mamadou Talla.
La police technique et scientifique étaient sur les lieux pour rechercher l’identification de l’auteur du crime. Le bourreau est actuellement dans la nature. Les éléments de la police sont à ses trousses.