Cité par le journal « L’Observateur », M. Diouf soutient que « la CEDEAO puisse trouver une solution pacifique. Sinon, il faut une mobilisation internationale pour nous débarrasser de ce chancre du Nord-Mali ». Une manière de dire que : « Si tu vois la case de ton voisin qui se brûle, apporte lui de quoi éteindre le feu avant de se poser des questions sur l’origine de l’incendie ».
Il exprime toute son indignation sur ces gens qui massacrent les populations sur fond de « charia » ; dit-il « quand je vois ce qui s’y passe, cette islam mal expliqué, ces amputations, ses crimes, cette façon de mépriser la femme, la profanation du patrimoine historique et religieux… mais je ne peux pas le supporter ».
Abdou Diouf se démarque de ces gens à travers la religion musulmane et sonne l’alerte pour une intervention immédiate sinon avance-il « si on les laisse faire, c’est toute la zone sahélienne qui va être déstabilisée. Ils menacent aussi la sécurité internationale. Nul n’est à l’abri ».
Il exprime toute son indignation sur ces gens qui massacrent les populations sur fond de « charia » ; dit-il « quand je vois ce qui s’y passe, cette islam mal expliqué, ces amputations, ses crimes, cette façon de mépriser la femme, la profanation du patrimoine historique et religieux… mais je ne peux pas le supporter ».
Abdou Diouf se démarque de ces gens à travers la religion musulmane et sonne l’alerte pour une intervention immédiate sinon avance-il « si on les laisse faire, c’est toute la zone sahélienne qui va être déstabilisée. Ils menacent aussi la sécurité internationale. Nul n’est à l’abri ».