Abdou Kader Gueye DG Agrophytex et Ibrahima Lissa FAYE Directeur de publication de PressAfrik ce samedi 6 avril à l'hôtel Terrou Bi
La campagne agricole se pointe et c’est le temps des gladiateurs économiques. Trois quotidiens du jour ont été manipulés à dessein par un grand opérateur économique. En effet, L’Observateur, Le Quotidien et Libération ont tous annoncé que le Directeur général d’Agrophytex SA et magnat de l’engrais dans la sous région, Abdou Kader Gueye a été placé sous mandat de dépôt hier, vendredi et qu’il a passé la nuit à Reubeuss. Il n’en est rien. Votre serviteur a pris langue avec le monsieur en question à 12h dans un célèbre à l’hôtel Terrou bi où il était avec Ameth Amar, ses principaux collaborateurs et amis en train de discuter de la question.
En réalité l’information a été donnée à ces journaux pour l’écarter dans la fourniture d’engrais pour la prochaine campagne agricole. Agrophytex SA a gagné l’année dernière 65% du marché national d’engrais. Selon Abdou Kader Gueye, avec le concours de ses partenaires internationaux, il a réussi à mettre en place 102,4% de sa part de marché. Un pourcentage disponible dans les zones de culture. Le Directeur général d’Agrophytex a, dans la foulée, tenu à préciser qu’actuellement un stock de 4000 tonnes est disponible dans les différentes communautés rurales. «Cela représente le résidu des 102,4% et c’est vérifiable par toute organisation ou personne qui pourrait en douter», a-t- ajouté.
A ce jour, a expliqué Abdou Kader Gueye, l’Etat a réglé cette facture à hauteur de 70% et reste lui devoir 30% qui sont en cours de règlement.
Avant l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, chaque année les paysans se plaignaient et manifestaient souvent pour n’avoir pas reçu suffisamment ou pas du temps d’intrants agricoles notamment d’engrais. Cela se justifiait par le fait que tout le marché national n’était confié qu’à une seule personne. «Cette année, il n’y a pas eu de récrimination. Aucun paysan ne s’est pas plaint de la fourniture d’engrais dans les médias», a-t-il fait savoir.
Aujourd’hui les autorités du ministère de l’Agriculture ont décidé que le marché des intrants agricoles ne sera plus confié à une seule personne. Et c’est pour éviter des défaillances dans la fourniture et des problèmes avec les paysans.
La prochaine campagne les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) vont en train en jeu dans le suivi de la distribution des intrants. Avec l’aide du téléphone portable, les agriculteurs vont, par le biais d’un code, confirmer qu’ils ont reçu tant de sacs de semences et d’engrais.
En réalité l’information a été donnée à ces journaux pour l’écarter dans la fourniture d’engrais pour la prochaine campagne agricole. Agrophytex SA a gagné l’année dernière 65% du marché national d’engrais. Selon Abdou Kader Gueye, avec le concours de ses partenaires internationaux, il a réussi à mettre en place 102,4% de sa part de marché. Un pourcentage disponible dans les zones de culture. Le Directeur général d’Agrophytex a, dans la foulée, tenu à préciser qu’actuellement un stock de 4000 tonnes est disponible dans les différentes communautés rurales. «Cela représente le résidu des 102,4% et c’est vérifiable par toute organisation ou personne qui pourrait en douter», a-t- ajouté.
A ce jour, a expliqué Abdou Kader Gueye, l’Etat a réglé cette facture à hauteur de 70% et reste lui devoir 30% qui sont en cours de règlement.
Avant l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, chaque année les paysans se plaignaient et manifestaient souvent pour n’avoir pas reçu suffisamment ou pas du temps d’intrants agricoles notamment d’engrais. Cela se justifiait par le fait que tout le marché national n’était confié qu’à une seule personne. «Cette année, il n’y a pas eu de récrimination. Aucun paysan ne s’est pas plaint de la fourniture d’engrais dans les médias», a-t-il fait savoir.
Aujourd’hui les autorités du ministère de l’Agriculture ont décidé que le marché des intrants agricoles ne sera plus confié à une seule personne. Et c’est pour éviter des défaillances dans la fourniture et des problèmes avec les paysans.
La prochaine campagne les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) vont en train en jeu dans le suivi de la distribution des intrants. Avec l’aide du téléphone portable, les agriculteurs vont, par le biais d’un code, confirmer qu’ils ont reçu tant de sacs de semences et d’engrais.
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