«La question du commerce électronique a été débattue par l’ensemble des experts africains pour nous permettre de nous projeter vers un avenir beaucoup plus certain, en ce qui concerne les échanges commerciaux. L’économie numérique ne peut évoluer sans le développement du commerce numérique. Parce que le commerce électronique, c’est l’ensemble des activités économiques et sociales qui sont facilitées par des plateformes de réseau d’internet, des réseaux mobiles des réseaux des capteurs et y compris de commerce électronique », soutient Abdou Karim Sall, le Directeur Général de l’ARTP lors de l'ouverture du 3e atelier francophone de formation de formation.
Profitant de l'occasion, M. Sall rappelé qu’une étude avait montré en 2016 que l’essentiel du chiffre d’affaires global du commerce électronique tournait aux alentours de « 15 000 milliards de dollars ». Mais, dit-il, « sur cette somme, l’Afrique n’avait que 2 % de part ».
Suffisant pour lui pour s’assurer qu’ « en 2020, il n’y aura pas de différence entre le commerce traditionnel et le commerce numérique. Donc l’Afrique doit faire en sorte que nous puissions tirer notre épingle du jeu et développer nos pays à travers ce marché mondial qui est en train de s’ouvrir et qui s’ouvre pour tout le monde ».
Par ailleurs, M. Sall a noté des difficultés en Afrique : « Nous avons quand même quelques difficultés en Afrique. C’est le taux de pénétration des réseaux. C’est également le système d’adressage cohérent. Donc les Etats ne manqueront pas de travailler dans le sens de parfaire ou de mettre en place des systèmes d’adressage », a-t-il suggéré.
À son entendement, « qui dit commerce électronique dit le développement du réseau postal ». Donc il est important que la poste se repositionne, compte tenu du fait que le courrier traditionnel est en perte de vitesse.
Djibril Younous, secrétaire général de l’union panafricaine des postes quant à lui, a précisé que « les bases en Afrique sont en train d’être posées. L’atelier actuel entre dans cette préparation. Le potentiel est là. Nous, nous sommes en train de nous préparer. Les postes n’ont pas été préparé à ce marché bien quelles aient à leur niveau suffisamment d’atouts ».
Profitant de l'occasion, M. Sall rappelé qu’une étude avait montré en 2016 que l’essentiel du chiffre d’affaires global du commerce électronique tournait aux alentours de « 15 000 milliards de dollars ». Mais, dit-il, « sur cette somme, l’Afrique n’avait que 2 % de part ».
Suffisant pour lui pour s’assurer qu’ « en 2020, il n’y aura pas de différence entre le commerce traditionnel et le commerce numérique. Donc l’Afrique doit faire en sorte que nous puissions tirer notre épingle du jeu et développer nos pays à travers ce marché mondial qui est en train de s’ouvrir et qui s’ouvre pour tout le monde ».
Par ailleurs, M. Sall a noté des difficultés en Afrique : « Nous avons quand même quelques difficultés en Afrique. C’est le taux de pénétration des réseaux. C’est également le système d’adressage cohérent. Donc les Etats ne manqueront pas de travailler dans le sens de parfaire ou de mettre en place des systèmes d’adressage », a-t-il suggéré.
À son entendement, « qui dit commerce électronique dit le développement du réseau postal ». Donc il est important que la poste se repositionne, compte tenu du fait que le courrier traditionnel est en perte de vitesse.
Djibril Younous, secrétaire général de l’union panafricaine des postes quant à lui, a précisé que « les bases en Afrique sont en train d’être posées. L’atelier actuel entre dans cette préparation. Le potentiel est là. Nous, nous sommes en train de nous préparer. Les postes n’ont pas été préparé à ce marché bien quelles aient à leur niveau suffisamment d’atouts ».