« Ce budget 2025, comporte des choses graves, je l’ai dénoncé devant le Premier ministre, il a essayé de donner des explications mais ce qui l’on suivi, ont vu qu’il a été très alambiqué, il ne savait même pas ce qu’il allait dire, il s’est perdu dans ses papiers, mais finalement il est revenu pour confirmer tout ce que j’ai dit », a déclaré Abdou Mbow, lors de son passage à l’émission Grand Jury sur la Rfm.
Le député de l’APR a également révélé que la pression fiscale subie par bon nombre d’entreprises est loin d’être terminé car a -t-il dit : « dans le budget 2025, ils ont prévu une pression fiscale de 19,3% ce qui veut dire, qu’ils vont encore taper fort, ils vont harceler les gens, parce qu’eux même ils savent que nos partenaires eux tous ne veulent plus travailler à investir même dans le pays, parce que ce que le Premier ministre a dit est un scandale. Il a dit qu’on a falsifié des chiffres. Ce n’est pas sérieux dans un Etat de droit où aujourd’hui, on a une Cour des comptes qui a fait son travail ».
A la question de savoir s’ils comptaient attaquer la loi de finance votée sans débat hier samedi 28 décembre à l’Assemblée nationale pour vice de procédure : « nous on est en démocratie, on est des républicains et des démocrates j’avais dit au début de l’installation de la législature que nous ne ferons rien pour empêcher que le Sénégal puisse avoir un budget afin que les institutions puissent fonctionner normalement ». « Par contre », a -t-il poursuivi : « nous sommes des députés élus du peuple, nous devons rendre compte aux populations. Nous n’allons pas faire comme ils ont l’habitude de faire, casser les bancs de l’Assemblée nationale, arracher les micros, empêcher le déroulement des travaux, parce que les Sénégalais ne nous ont pas amené à l’Assemblée nationale pour qu’on passe notre temps à se battre. Nous allons saisir ce que la loi nous donne comme prérogative et je pense que tout ce qu’on va faire, on va discuter avec le groupe parlementaire, on va discuter avec les non- inscrits, les députés qui travailleront à ce que les juridictions compétentes puissent être saisies. Mais tout cela sera accompagné d’une dénonciation à travers les médias, un appel à la société civile, mais aussi, une explication aux populations qui nous ont élu ».
Le député de l’APR a également révélé que la pression fiscale subie par bon nombre d’entreprises est loin d’être terminé car a -t-il dit : « dans le budget 2025, ils ont prévu une pression fiscale de 19,3% ce qui veut dire, qu’ils vont encore taper fort, ils vont harceler les gens, parce qu’eux même ils savent que nos partenaires eux tous ne veulent plus travailler à investir même dans le pays, parce que ce que le Premier ministre a dit est un scandale. Il a dit qu’on a falsifié des chiffres. Ce n’est pas sérieux dans un Etat de droit où aujourd’hui, on a une Cour des comptes qui a fait son travail ».
A la question de savoir s’ils comptaient attaquer la loi de finance votée sans débat hier samedi 28 décembre à l’Assemblée nationale pour vice de procédure : « nous on est en démocratie, on est des républicains et des démocrates j’avais dit au début de l’installation de la législature que nous ne ferons rien pour empêcher que le Sénégal puisse avoir un budget afin que les institutions puissent fonctionner normalement ». « Par contre », a -t-il poursuivi : « nous sommes des députés élus du peuple, nous devons rendre compte aux populations. Nous n’allons pas faire comme ils ont l’habitude de faire, casser les bancs de l’Assemblée nationale, arracher les micros, empêcher le déroulement des travaux, parce que les Sénégalais ne nous ont pas amené à l’Assemblée nationale pour qu’on passe notre temps à se battre. Nous allons saisir ce que la loi nous donne comme prérogative et je pense que tout ce qu’on va faire, on va discuter avec le groupe parlementaire, on va discuter avec les non- inscrits, les députés qui travailleront à ce que les juridictions compétentes puissent être saisies. Mais tout cela sera accompagné d’une dénonciation à travers les médias, un appel à la société civile, mais aussi, une explication aux populations qui nous ont élu ».
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