Le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a procédé, ce lundi, à l’installation officielle de la commission de la carte nationale de presse et de la validation des acquis de l’expérience, composée de huit membres titulaires et de leurs suppléants, à sa tête le journaliste Daouda Mine. La carte nationale de presse qui n'était pas délivrée depuis les années 2006 -2007 était très attendue par les acteurs de la presse pour l'assainissement du secteur.
En effet, « ce sujet de la presse confronté à d’énormes difficultés d’ordre économique, social et professionnel, est lié particulièrement à une absence de carde juridique et réglementaire adaptées. Cette situation a créé un grand flou dans le secteur, la qualification de l’organe de presse est devenue confuse avec la multiplication des supports particulièrement dans le texte marqué par l’avènement numérique. On ne sait plus qui est journaliste et qui ne l’est pas », a soutenu le ministre Abdoulaye Diop face à la presse.
Il ajoute « Or, nous en convenons tous que malgré le rôle important que joue la presse sénégalaise dans l’éveil de la conscience et sa large contribution à la construction des sociétés modernes à la promotion et à la consolidation de la démocratie, la presse peut aussi, si elle n’est pas professionnelle et adossée sur des principes d’éthique et de déontologie détruit des vies, disloque des foyers etc... »
Conscient des dérives de la profession, le président nouvellement installé à la tête de la commission de la carte nationale de presse et de la validation des acquis de l’expérience, Daouda Mine, promet l’application des textes. « La mise en place de cette commission participe à l’assainissement de la presse. L’ancien code disait : est journaliste que celui qui est sorti d’une école de formation et qui tire l’essentiel de ses revenus dans ses fonctions de journaliste ; mais le deuxième alinéa posait problème. Ceci disait est journaliste celui qui est formé dans une rédaction régulière et qui exerce la fonction de journaliste. Pourquoi ce deuxième alinéa posait problème? parce que tout, simplement, il n y avait pas de critères de formation et pas de commissions pour valider les acquis au niveau de ses rédactions. Mais, les nouvelles dispositions du code la presse a résolu ça. Et nous, on nous a demandé d’appliquer ses dispositions est, c’est ce que nous allons faire».
La prochaine étape de la commission est de valider le règlement intérieur, celui qui leur permettra de travailler, de suivre la procédure qui sera édictée. Car, pour le président Daouda Mine, « il faut comprendre que notre travail est encadré par le code de la presse. Les dispositions du code sont claires et ce sont (elles) qui nous disent ce qui est attendu de nous, ce que nous devons faire, et ce que nous ne devons pas », renseigne t-il.
En effet, « ce sujet de la presse confronté à d’énormes difficultés d’ordre économique, social et professionnel, est lié particulièrement à une absence de carde juridique et réglementaire adaptées. Cette situation a créé un grand flou dans le secteur, la qualification de l’organe de presse est devenue confuse avec la multiplication des supports particulièrement dans le texte marqué par l’avènement numérique. On ne sait plus qui est journaliste et qui ne l’est pas », a soutenu le ministre Abdoulaye Diop face à la presse.
Il ajoute « Or, nous en convenons tous que malgré le rôle important que joue la presse sénégalaise dans l’éveil de la conscience et sa large contribution à la construction des sociétés modernes à la promotion et à la consolidation de la démocratie, la presse peut aussi, si elle n’est pas professionnelle et adossée sur des principes d’éthique et de déontologie détruit des vies, disloque des foyers etc... »
Conscient des dérives de la profession, le président nouvellement installé à la tête de la commission de la carte nationale de presse et de la validation des acquis de l’expérience, Daouda Mine, promet l’application des textes. « La mise en place de cette commission participe à l’assainissement de la presse. L’ancien code disait : est journaliste que celui qui est sorti d’une école de formation et qui tire l’essentiel de ses revenus dans ses fonctions de journaliste ; mais le deuxième alinéa posait problème. Ceci disait est journaliste celui qui est formé dans une rédaction régulière et qui exerce la fonction de journaliste. Pourquoi ce deuxième alinéa posait problème? parce que tout, simplement, il n y avait pas de critères de formation et pas de commissions pour valider les acquis au niveau de ses rédactions. Mais, les nouvelles dispositions du code la presse a résolu ça. Et nous, on nous a demandé d’appliquer ses dispositions est, c’est ce que nous allons faire».
La prochaine étape de la commission est de valider le règlement intérieur, celui qui leur permettra de travailler, de suivre la procédure qui sera édictée. Car, pour le président Daouda Mine, « il faut comprendre que notre travail est encadré par le code de la presse. Les dispositions du code sont claires et ce sont (elles) qui nous disent ce qui est attendu de nous, ce que nous devons faire, et ce que nous ne devons pas », renseigne t-il.
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