Mamadou Lamine Diallo, président du Mouvement Tekki, a déclaré que le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, « n’a aucune crédibilité pour nous parler de vaccin », après qu’il ait soutenu à l’Assemblée nationale que « l’indicateur le plus important pour lui est le nombre de cas graves ».
« Le Sénégal n’a que 69 lits pour les cas graves dont 43 à Dakar. Le Rwanda a 600 lits et vient de construire un hôpital de 200 lits en huit mois. Le nombre de décès est lié au nombre de cas graves. Par conséquent, si Macky Sall avait construit 150 lits, le Sénégal aurait eu moins de 200 décès aujourd’hui », a dit le député sans sa chronique les mardis de Tekki.
Le leader de Tekki d’ajouter : « C’est pourquoi, je soutiens qu’Abdoulaye Diouf Sarr qui a défendu à l’Assemblée nationale que l’indicateur le plus important pour lui est le nombre de cas graves a échoué. Il n’a aucune crédibilité pour nous parler de vaccins ».
Selon M. Diallo, « tous les pays Africains présentent le même profil épidémiologique, aux densités de population près. L’Afrique n’a pas produit de vaccin », s’est-il désolé, ajoutant que « ce sont les Etats de la frontière technologique qui ont produit des vaccins : Etat Unis, Chine, Allemagne, Royaume Unis et Russie ; la Turquie annonce son vaccin pour fin avril 2021 ».
Dans ces circonstances, poursuit-il, « une analyse scientifique sur la qualité des vaccins, et économique sur les coûts et les effets induits devrait amener les Etats Africains à choisir les mêmes vaccins ». Il a donné l’exemple du Maroc et de l’Egypte qui ont choisi la Chine, l'Algérie, la Russie, le Nigeria Pfizer.
« L’OMS qui n’est pas un gouvernement mondial propose un programme Covacs avec des conditionnalités. C’est dire qu’alors, seuls les enjeux géostratégiques et la corruption expliquent les choix divergents des Etats Africains. Les parrains se frottent les mains », a-t-il déploré.
« Le Sénégal n’a que 69 lits pour les cas graves dont 43 à Dakar. Le Rwanda a 600 lits et vient de construire un hôpital de 200 lits en huit mois. Le nombre de décès est lié au nombre de cas graves. Par conséquent, si Macky Sall avait construit 150 lits, le Sénégal aurait eu moins de 200 décès aujourd’hui », a dit le député sans sa chronique les mardis de Tekki.
Le leader de Tekki d’ajouter : « C’est pourquoi, je soutiens qu’Abdoulaye Diouf Sarr qui a défendu à l’Assemblée nationale que l’indicateur le plus important pour lui est le nombre de cas graves a échoué. Il n’a aucune crédibilité pour nous parler de vaccins ».
Selon M. Diallo, « tous les pays Africains présentent le même profil épidémiologique, aux densités de population près. L’Afrique n’a pas produit de vaccin », s’est-il désolé, ajoutant que « ce sont les Etats de la frontière technologique qui ont produit des vaccins : Etat Unis, Chine, Allemagne, Royaume Unis et Russie ; la Turquie annonce son vaccin pour fin avril 2021 ».
Dans ces circonstances, poursuit-il, « une analyse scientifique sur la qualité des vaccins, et économique sur les coûts et les effets induits devrait amener les Etats Africains à choisir les mêmes vaccins ». Il a donné l’exemple du Maroc et de l’Egypte qui ont choisi la Chine, l'Algérie, la Russie, le Nigeria Pfizer.
« L’OMS qui n’est pas un gouvernement mondial propose un programme Covacs avec des conditionnalités. C’est dire qu’alors, seuls les enjeux géostratégiques et la corruption expliquent les choix divergents des Etats Africains. Les parrains se frottent les mains », a-t-il déploré.
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