
La violence électorale s’est bien conviée dans cette campagne du second tour du scrutin entre Abdoulaye Wade et Macky Sall. En effet, les candidats font l’objet d’attaques et des armes à feu sont souvent brandies dans les meetings. Un constat fait par le chef de l’Etat qui dénonce cette violence par la voix de son porte-parole, Serigne Mbacké Ndiaye.
« Ce n’est pas seulement la violence à Saint Louis d’ailleurs, parce qu’on a constaté que depuis un certain temps, qu’il y a des actes de violence verbale ou physique que nous constatons sur le champ politique, et je voudrais dire solennellement au nom du chef de l’Etat que nous condamnons énergiquement et fermement ces actes », a émis sur les ondes de la RFM, Serigne Mbacké Ndiaye qui estime que « la politique ne se fait pas avec la violence, n’est pas une confrontation de muscle, mais une bataille d’idée ».
Une raison pour laquelle, poursuit-il, « le président de la République condamne de tels actes et appelle tous les acteurs politiques à l’apaisement, à la paix et que chacun ait la liberté d’exercer ses activités conformément à la loi ». Le porte-parole du chef de l’Etat n’a pas manqué de rappeler que « le ministre de l’Intérieur a pris toutes les dispositions pour assurer la sécurité et la protection des candidats, mais également la sécurité et la protection des biens et des personnes vivant dans notre pays ».
Rien que dans la journée du mercredi, trois attaques ont été notées à Ouakam, Saint Louis et Kébémer. Toutefois, les cortèges des partisans du candidat de la coalition Benno Bokk yaakaar ont été les cibles principales de ces attaques citées.
« Ce n’est pas seulement la violence à Saint Louis d’ailleurs, parce qu’on a constaté que depuis un certain temps, qu’il y a des actes de violence verbale ou physique que nous constatons sur le champ politique, et je voudrais dire solennellement au nom du chef de l’Etat que nous condamnons énergiquement et fermement ces actes », a émis sur les ondes de la RFM, Serigne Mbacké Ndiaye qui estime que « la politique ne se fait pas avec la violence, n’est pas une confrontation de muscle, mais une bataille d’idée ».
Une raison pour laquelle, poursuit-il, « le président de la République condamne de tels actes et appelle tous les acteurs politiques à l’apaisement, à la paix et que chacun ait la liberté d’exercer ses activités conformément à la loi ». Le porte-parole du chef de l’Etat n’a pas manqué de rappeler que « le ministre de l’Intérieur a pris toutes les dispositions pour assurer la sécurité et la protection des candidats, mais également la sécurité et la protection des biens et des personnes vivant dans notre pays ».
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