Après les jeunes socialistes qui répliquent par des menaces, le porte-parole du Ps lui, répond par le mépris, selon le journal « Enquête ». Pour Abdoulaye Wilane, le leader de la Convergence socialiste a « sa place à Fann ou dans un hôpital psychiatrique ».
« Je pense qu’il faudrait éviter de vouloir offrir en spectacle des gens qui ne font pas dans le spectacle. La presse a une mission de service public. Elle ne doit pas être en mesure de faire la promotion des contre-valeurs et de l’impolitesse caractérisée qui prétend un peu faire dans le débat démocratique », martèle le porte-parole du Ps dans les colonnes du journal « Le Populaire ».
Plus loin, il ajoute : « En vérité, c’est la presse qui sert de tribune à Malick Noël Seck qui s’illustre comme un garçon particulièrement mal élevé pour qu’il insulte des hommes et des femmes. Que Malick Noël Seck continue à insulter tout le monde, vous pensez que c’est cela le débat démocratique ? Comme ses parents ne peuvent pas le corriger parce qu’il est indiscipliné, ces jeunes (socialistes) s’engagent à le faire ».
« Ce garçon a un problème existentiel. Avant d’être patron de la Convergence socialiste, personne ne le connaissait. Il était méprisé dans son quartier… Il a pensé que parce qu’il a fait la prison, il peut se permettre de dire : ‘’Bon écoute, je peux m’affranchir de l’influence, hériter de l’ombre de Barthélémy Dias qui est le patron de l’ensemble des jeunesses socialistes’’. Il fait tort au parti. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’un garçon comme lui a sa place à Fann ou dans un hôpital psychiatrique, sinon dans un asile », laisse entendre clairement Abdoulaye Wilane, porte-parole du Parti socialiste (Ps) du Sénégal.
« Je pense qu’il faudrait éviter de vouloir offrir en spectacle des gens qui ne font pas dans le spectacle. La presse a une mission de service public. Elle ne doit pas être en mesure de faire la promotion des contre-valeurs et de l’impolitesse caractérisée qui prétend un peu faire dans le débat démocratique », martèle le porte-parole du Ps dans les colonnes du journal « Le Populaire ».
Plus loin, il ajoute : « En vérité, c’est la presse qui sert de tribune à Malick Noël Seck qui s’illustre comme un garçon particulièrement mal élevé pour qu’il insulte des hommes et des femmes. Que Malick Noël Seck continue à insulter tout le monde, vous pensez que c’est cela le débat démocratique ? Comme ses parents ne peuvent pas le corriger parce qu’il est indiscipliné, ces jeunes (socialistes) s’engagent à le faire ».
« Ce garçon a un problème existentiel. Avant d’être patron de la Convergence socialiste, personne ne le connaissait. Il était méprisé dans son quartier… Il a pensé que parce qu’il a fait la prison, il peut se permettre de dire : ‘’Bon écoute, je peux m’affranchir de l’influence, hériter de l’ombre de Barthélémy Dias qui est le patron de l’ensemble des jeunesses socialistes’’. Il fait tort au parti. Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’un garçon comme lui a sa place à Fann ou dans un hôpital psychiatrique, sinon dans un asile », laisse entendre clairement Abdoulaye Wilane, porte-parole du Parti socialiste (Ps) du Sénégal.