« L’heure est à la mutualisation, aux échanges d’informations au niveau sous-régional pour lutter efficacement contre le terrorisme ». C’est ce qui ressort de la rencontre quadripartite des ministres ivoirien, malien, burkinabè et sénégalais en charge de la Sécurité.
A l’issue d’un travail de 48 heures, ils se sont accordés sur plusieurs points. Entre autres, l’établissement d’une unité d’action et la collaboration systématique entre les services de sécurité, ou encore la mise en place d’une carte d’identité biométrique dans la région afin de favoriser la traçabilité des mouvements de part et d’autre des frontières.
Selon le colonel-major Salif Traoré, ministre malien de la Sécurité et de la Protection civile, nul n’est au bout de ses surprises, car les jihadistes peuvent encore agir n’importe où.
Seul pays à ne pas être encore touché par les terroristes, le Sénégal a tenu à participer à cette réunion. Le ministre sénégalais de l’Intérieur a insisté sur la mise en œuvre immédiate des résolutions prises au cours de cette réunion face à la menace qui se précise.
Les ministres ont précisé que le jihadisme n’est pas la seule affaire des Forces de défense et de sécurité. Ils ont donc appelé les populations à ne pas hésiter à partager les informations en leur possession qui pourraient permettre d’anticiper d’éventuelles actions des terroristes.
Source:Rfi.fr
A l’issue d’un travail de 48 heures, ils se sont accordés sur plusieurs points. Entre autres, l’établissement d’une unité d’action et la collaboration systématique entre les services de sécurité, ou encore la mise en place d’une carte d’identité biométrique dans la région afin de favoriser la traçabilité des mouvements de part et d’autre des frontières.
Selon le colonel-major Salif Traoré, ministre malien de la Sécurité et de la Protection civile, nul n’est au bout de ses surprises, car les jihadistes peuvent encore agir n’importe où.
Seul pays à ne pas être encore touché par les terroristes, le Sénégal a tenu à participer à cette réunion. Le ministre sénégalais de l’Intérieur a insisté sur la mise en œuvre immédiate des résolutions prises au cours de cette réunion face à la menace qui se précise.
Les ministres ont précisé que le jihadisme n’est pas la seule affaire des Forces de défense et de sécurité. Ils ont donc appelé les populations à ne pas hésiter à partager les informations en leur possession qui pourraient permettre d’anticiper d’éventuelles actions des terroristes.
Source:Rfi.fr
Autres articles
-
Mozambique: 1500 détenus s'évadent d'une prison dans un contexte de violences post-électorales
-
Au Gabon, polémique et enquête ouverte après la mort suspecte d'un jeune marin
-
Mozambique : plus de 1500 détenus profitent des troubles à Maputo pour s'évader
-
Centrafrique: ouverture du procès du député Dominique Yandocka pour «complot et tentative de coup d’État»
-
Est de la RDC: des accrochages entre l'armée et les milices Wazalendo font une dizaine de morts