Le célèbre milliardaire Mayoro Mbaye de Maritalia menacé de poursuite judiciaire par le Doyen des juges, Maha Sémou Diouf qui l’accuse de diffamation, était à la barre hier, vendredi. Et ce sont 100 millions de F CFA que le réclame l’Association pour le Bien Etre Communautaire (ABECOM).
L’Association l’a fait condamné pour abus de confiance. Elle est revenue pour lui réclamer des dommages et intérêts, dans une vielle procédure qui remonte à 2001 à hauteur de 100 millions F CFA. Le conseil d’ABECOM en a profité pour égratigner Mayoro Mbaye, engagé dans d’autres procédures.
Selon le journal « Enquête », en 2001, Mamadou Konaté responsable de l’association ABECOM, a mandaté Mayoro Mbaye pour convoyer au Sénégal un lot de médicaments. Seulement l’homme d’affaires a fait un détournement, en emmenant les médicaments au centre de santé de Daara dont il est parrain. Cela lui a value des poursuites judiciaires. Renvoyé par le juge d’instruction devant le tribunal correctionnel de Dakar pour abus de confiance, il a été relaxé. La partie civile a fait appel de même que le parquet. Dans sont arrêt rendu en 2008, la Cour d’appel a infirmé le juge correctionnel.
Mayoro Mbaye fut reconnu coupable et condamné à six mois assortie de sursis. Hier, après avoir écouté les conseils des parties, la Cour a renvoyé le délibéré au 23 mai prochain.
L’Association l’a fait condamné pour abus de confiance. Elle est revenue pour lui réclamer des dommages et intérêts, dans une vielle procédure qui remonte à 2001 à hauteur de 100 millions F CFA. Le conseil d’ABECOM en a profité pour égratigner Mayoro Mbaye, engagé dans d’autres procédures.
Selon le journal « Enquête », en 2001, Mamadou Konaté responsable de l’association ABECOM, a mandaté Mayoro Mbaye pour convoyer au Sénégal un lot de médicaments. Seulement l’homme d’affaires a fait un détournement, en emmenant les médicaments au centre de santé de Daara dont il est parrain. Cela lui a value des poursuites judiciaires. Renvoyé par le juge d’instruction devant le tribunal correctionnel de Dakar pour abus de confiance, il a été relaxé. La partie civile a fait appel de même que le parquet. Dans sont arrêt rendu en 2008, la Cour d’appel a infirmé le juge correctionnel.
Mayoro Mbaye fut reconnu coupable et condamné à six mois assortie de sursis. Hier, après avoir écouté les conseils des parties, la Cour a renvoyé le délibéré au 23 mai prochain.