C’est à la fin de l’été dernier, après les révélations d’un nouveau scandale de prêtres pédophiles aux Etats-Unis, que le pape François et son conseil des cardinaux ont décidé de convoquer une réunion internationale .
Ils sont 114 présidents des conférences épiscopales : 36 en provenance d’Afrique, 32 d’Europe, 24 des Amériques et 18 d’Asie. Ce sommet a été préparé en amont par un comité organisateur.
En décembre, les participants ont reçu un questionnaire pour évaluer leur prise de conscience sur cette question et il leur avait été demandé de rencontrer des victimes. Car après des décennies de déni et de silence, c’est bien d’une prise de conscience collective du drame des abus sexuels et de la responsabilité de chaque évêque dont il s’agit.
Ils sont 114 présidents des conférences épiscopales : 36 en provenance d’Afrique, 32 d’Europe, 24 des Amériques et 18 d’Asie. Ce sommet a été préparé en amont par un comité organisateur.
En décembre, les participants ont reçu un questionnaire pour évaluer leur prise de conscience sur cette question et il leur avait été demandé de rencontrer des victimes. Car après des décennies de déni et de silence, c’est bien d’une prise de conscience collective du drame des abus sexuels et de la responsabilité de chaque évêque dont il s’agit.
Chacun repartira avec une feuille de route pour mettre fin aux errances du passé, et savoir comment régler le cas d’un prêtre abuseur. Harmoniser cette prise de conscience au niveau mondial est un vrai défi. Mais il en va de l’avenir de l’Eglise.