A travers son communiqué Enda Pronat dénonce le fait que « la spoliation des terres des petits producteurs et des ressources naturelles est devenue une activité qui se fait par des multinationales du Nord, des Etats du Sud, des leaders politiques, religieux et entrepreneurs nationaux ». Et cela constitue « une atteinte aux droits des personne » dont les conséquences sont : « la transformation de la terre en une marchandise en ignorant totalement sa dimension socio culturelle ; à promouvoir l’agrobusiness au détriment d’une agriculture paysanne portée par les exploitations familiales rurales gage de la souveraineté alimentaire et la préservation des ressources naturelles pour les générations futures. Pis, « cette situation met en péril les efforts des petits producteurs pour satisfaire dans une perspective durable l’alimentation des villes, contribuer à la création d’emplois et de revenus décents en milieu rural ».
En appelant déjà « les décideurs politiques du Sénégal à stopper toutes les initiatives publiques ou privées qui entraînent la spoliation des terres », Enda et les populations de Ndiael s’engagent à construire « un mouvement fort et intelligent qui mettra au centre les producteurs pour défendre leurs droits et accompagner leur active participation dans l’élaboration des reformes plus humaines et respectueuses des principes de la souveraineté alimentaire et du développement durable ».
La musique sera au cœur de ce combat car la chanson « Touche pas à ma Terre » interprétée par le groupe Bidew Bou Bess et coproduite par Enda Pronat sera lancée « chanson qui va servir d’hymne et de rythme pour dénoncer « la violation des lois foncières qui se fait avec un mépris des droits des petits producteurs et autres communautés marginalisées ».
En appelant déjà « les décideurs politiques du Sénégal à stopper toutes les initiatives publiques ou privées qui entraînent la spoliation des terres », Enda et les populations de Ndiael s’engagent à construire « un mouvement fort et intelligent qui mettra au centre les producteurs pour défendre leurs droits et accompagner leur active participation dans l’élaboration des reformes plus humaines et respectueuses des principes de la souveraineté alimentaire et du développement durable ».
La musique sera au cœur de ce combat car la chanson « Touche pas à ma Terre » interprétée par le groupe Bidew Bou Bess et coproduite par Enda Pronat sera lancée « chanson qui va servir d’hymne et de rythme pour dénoncer « la violation des lois foncières qui se fait avec un mépris des droits des petits producteurs et autres communautés marginalisées ».
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