Le ministère de l'Énergie, du Pétrole et des Mines (MEPM), en collaboration avec l'IRENA (Agence internationale des énergies renouvelables) et la GIZ, a organisé, ce lundi 16 décembre 2024, un atelier marquant le lancement de sessions de renforcement des capacités des agents de l’administration en management de l’énergie.
Ce programme, soutenu par l’IRENA et l’ambassade d’Allemagne via la GIZ, vise à aider le Sénégal à élaborer les mécanismes nécessaires pour atteindre ses objectifs en matière d’énergie.
« Avoir une vision et poser des projets doit s'accompagner d'une capacité de modélisation, d'une planification et d'une fixation d'échéancier au terme desquels on peut structurer ce que nous voulons réaliser en comprenant les moyens et les méthodes qu'il faut pour y parvenir », a déclaré Birame Souleye Diop, ministre de l'Energie, du Pétrole et des Mines.
D'après lui, le fait d'avoir un cadre adapté, un environnement et un écosystème pour produire de l'énergie solaire seule ne suffit pas car cela doit être accompagné de « toutes la modélisation, toutes les hypothèses pour nous permettre de faire des choix objectifs et nous embarquer aujourd'hui pour que à l'échéance que nous avons fixé 2040-2050 que nous puissions savoir quels sont les résultats et prendre les meilleures décisions qui soient », a-t-il insisté.
Vers un mix énergétique ambitieux
En effet, si l'on se fie à ses propos, le « projet en plus d'asseoir la vision du Sénégal à l'horizon 2050, a comme mission d'être favorable et bénéfique à tel enseigne que chaque Sénégalais y verra son compte en matière d'électricité.
« La vision Sénégal 2050 emporte la réalisation d'un mixte énergétique à l'horizon 2030 à hauteur de 40% », a expliqué Birame Soulèye.
À ce niveau, il ajoute que « la volonté du Sénégal, c'est de donner à tous les Sénégalais la possibilité d'avoir accès à l'énergie à un coût abordable et à une énergie de qualité », a déclaré le ministre de l’Energie.
Par ailleurs, poursuit-il, le programme a permis l'accompagnement des cadres sénégalais qui permettrait d'outiller le Sénégal dans la modélisation et dans la planification.
Selon Birame Souleye Diop : « Ils ont été une vingtaine à être formés. Les récipiendaires auront l'accompagnement du gouvernement et sur la base du document qui a été présenté aujourd'hui nous pouvons asseoir des choix stratégiques qui seront validés le président de la République et par le gouvernement de Sénégal pour porter ce qu'ils viennent de nous proposer en termes de décision à prendre ».
L’atelier a marqué la fin de la première phase de formation et lancé une deuxième étape, qui visera à étendre ces sessions à l’ensemble du secteur de l’énergie.
Ainsi pour le ministre, ses partenaires et collaborateurs doivent poursuivre le travail pour l'atteinte de meilleurs résultats.
Ce programme, soutenu par l’IRENA et l’ambassade d’Allemagne via la GIZ, vise à aider le Sénégal à élaborer les mécanismes nécessaires pour atteindre ses objectifs en matière d’énergie.
« Avoir une vision et poser des projets doit s'accompagner d'une capacité de modélisation, d'une planification et d'une fixation d'échéancier au terme desquels on peut structurer ce que nous voulons réaliser en comprenant les moyens et les méthodes qu'il faut pour y parvenir », a déclaré Birame Souleye Diop, ministre de l'Energie, du Pétrole et des Mines.
D'après lui, le fait d'avoir un cadre adapté, un environnement et un écosystème pour produire de l'énergie solaire seule ne suffit pas car cela doit être accompagné de « toutes la modélisation, toutes les hypothèses pour nous permettre de faire des choix objectifs et nous embarquer aujourd'hui pour que à l'échéance que nous avons fixé 2040-2050 que nous puissions savoir quels sont les résultats et prendre les meilleures décisions qui soient », a-t-il insisté.
Vers un mix énergétique ambitieux
En effet, si l'on se fie à ses propos, le « projet en plus d'asseoir la vision du Sénégal à l'horizon 2050, a comme mission d'être favorable et bénéfique à tel enseigne que chaque Sénégalais y verra son compte en matière d'électricité.
« La vision Sénégal 2050 emporte la réalisation d'un mixte énergétique à l'horizon 2030 à hauteur de 40% », a expliqué Birame Soulèye.
À ce niveau, il ajoute que « la volonté du Sénégal, c'est de donner à tous les Sénégalais la possibilité d'avoir accès à l'énergie à un coût abordable et à une énergie de qualité », a déclaré le ministre de l’Energie.
Par ailleurs, poursuit-il, le programme a permis l'accompagnement des cadres sénégalais qui permettrait d'outiller le Sénégal dans la modélisation et dans la planification.
Selon Birame Souleye Diop : « Ils ont été une vingtaine à être formés. Les récipiendaires auront l'accompagnement du gouvernement et sur la base du document qui a été présenté aujourd'hui nous pouvons asseoir des choix stratégiques qui seront validés le président de la République et par le gouvernement de Sénégal pour porter ce qu'ils viennent de nous proposer en termes de décision à prendre ».
L’atelier a marqué la fin de la première phase de formation et lancé une deuxième étape, qui visera à étendre ces sessions à l’ensemble du secteur de l’énergie.
Ainsi pour le ministre, ses partenaires et collaborateurs doivent poursuivre le travail pour l'atteinte de meilleurs résultats.