Transrail est confronté à un certain nombre de problèmes relatifs à la capitalisation de la société, à la réalisation et à la mise sur pied d’un programme d’investissement et au retard pris dans l’exécution d’un certain nombre d’engagements renseigne son directeur interrogé par la radio Océan FM.
Il y a également les problèmes de trésorerie du fait de «la difficulté de recouvrement des montants dus par les Etats et un certain nombre de sociétés publiques». Il poursuit «ces difficultés de trésorerie elles-mêmes ont une répercussion sur notre exploitation parce qu’elles nous mettent dans l’impossibilité ou la quasi impossibilité d’acheter tous les consommables, les pièces de rechange etc qui seraient en réalité nécessaires à un entretien correct de nos matériels».
Ce sont ces difficultés économiques qui ont entrainé les licenciements tant décriés par les travailleurs de Transrail selon le directeur. D’après lui, c’est un licenciement économique qui entre dans une logique de réduction des charges, d’accélérer une forme de retour à la rentabilité qui s’inscrit dans un plan global dont il est l’un des éléments.
Un rail qui s’est brisé sous le passage du convoi a causé le déraillement du train survenu dans la nuit du mercredi au jeudi 14 mai selon les premiers éléments de l’enquête en cours.
Eric Peiffer a salué l’action du gouvernement qui a apporté son soutien aux victimes dès les premières heures de la catastrophe. Concernant le dédommagement des victimes, certains frais ont été pris en charge par Transrail. Mais, précise-t-il un certain nombre de gens n’était pas porteur d’un titre de voyage.
Il y a également les problèmes de trésorerie du fait de «la difficulté de recouvrement des montants dus par les Etats et un certain nombre de sociétés publiques». Il poursuit «ces difficultés de trésorerie elles-mêmes ont une répercussion sur notre exploitation parce qu’elles nous mettent dans l’impossibilité ou la quasi impossibilité d’acheter tous les consommables, les pièces de rechange etc qui seraient en réalité nécessaires à un entretien correct de nos matériels».
Ce sont ces difficultés économiques qui ont entrainé les licenciements tant décriés par les travailleurs de Transrail selon le directeur. D’après lui, c’est un licenciement économique qui entre dans une logique de réduction des charges, d’accélérer une forme de retour à la rentabilité qui s’inscrit dans un plan global dont il est l’un des éléments.
Un rail qui s’est brisé sous le passage du convoi a causé le déraillement du train survenu dans la nuit du mercredi au jeudi 14 mai selon les premiers éléments de l’enquête en cours.
Eric Peiffer a salué l’action du gouvernement qui a apporté son soutien aux victimes dès les premières heures de la catastrophe. Concernant le dédommagement des victimes, certains frais ont été pris en charge par Transrail. Mais, précise-t-il un certain nombre de gens n’était pas porteur d’un titre de voyage.
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