Contrairement aux visites de Bill Clinton en 1999 et Gorges W. Bush en 2003 respectivement accueillis en grande pompe à l’époque par les partisans des présidents Diouf et Wade, l’accueil réservé hier par le pays de la Téranga au premier président noir des Etats-Unis peut être conçu comme sobre.
En effet, loin des accueils folkloriques qui accompagnent généralement l’arrivée des chefs d’Etat au Sénégal, celui réservé à Barack Obama s’est simplement limité à une présence des autorités étatiques. Par ailleurs, des pancartes de bienvenue longeant les routes de l’aéroport Léopold Sédar Senghor ou des « Ndiaga Ndiaye » transportant des militants du parti au pouvoir n’ont pas été notés hier à l’occasion de la venue pour la première fois au Sénégal de l’homme le plus puissant du monde.
En lieu et place du folklore, il n’y avait donc que les drapeaux sénégalais et américains qui flottaient de l’aéroport jusqu’à la résidence d’Obama et sa famille. Mesure sécuritaire oblige ? Notre langue au chat.
En effet, loin des accueils folkloriques qui accompagnent généralement l’arrivée des chefs d’Etat au Sénégal, celui réservé à Barack Obama s’est simplement limité à une présence des autorités étatiques. Par ailleurs, des pancartes de bienvenue longeant les routes de l’aéroport Léopold Sédar Senghor ou des « Ndiaga Ndiaye » transportant des militants du parti au pouvoir n’ont pas été notés hier à l’occasion de la venue pour la première fois au Sénégal de l’homme le plus puissant du monde.
En lieu et place du folklore, il n’y avait donc que les drapeaux sénégalais et américains qui flottaient de l’aéroport jusqu’à la résidence d’Obama et sa famille. Mesure sécuritaire oblige ? Notre langue au chat.