L’affaire semble aussi grosse que grave. Ousmane Sonko, actuel leader de l’opposition et un des plus redoutables adversaires du pouvoir cité dans une affaire de mœurs, une affaire qui n'a pas manqué de susciter rapidement beaucoup interrogations. Or, Cheikh Bakhoum, DG de l'ADIE et non moins membre du parti au pouvoir, ne voit pas l’intérêt d’y ’’épiloguer’’.
Interrogé sur la question, dans l’émission Jury du dimanche dont il était l’invité, ce 7 février, le Directeur de l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE) et responsable politique à l’Apr dit n’avoir aucun commentaire à faire sur cette histoire qui concerne deux personnes. « Comme tous les Sénégalais, je l’ai découvert à travers la presse. Donc, nous allons suivre. Mais, je considère que c’est une affaire privée. J’espère juste que la justice sera dite. C’est ça le plus important », indique-t-il.
Une position, qui pousse à se demander si ce n'est pas à cause de la consigne reçue par leur parti, d’autant plus que le leader du Pastef dénonce un complot ourdi par le pouvoir. A cela Cheikh Bakhoum répond par la négation. Pour lui, dire que c’est le pouvoir qui est derrière ces accusations pourrait être « un axe de défense » pour Ousmane Sonko. Et, qu'au sein l’Alliance pour la République (Apr) aucune consigne n’a été donnée dans ce sens.
Contrairement aux déclarations de Cheikh Bakhoum, le leader de l’APR le président Macky Sall a, selon le journal Source A, donné des instructions fermes à ses militants à travers un "Sms". « Bonjour chers camarades républicains, pour le cas Ousmane Sonko accusé de viol, la consigne du parti et de la coalition : ne pas se prononcer sur le sujet ! Excellente journée ! », a-t-il envoyé à ses militants.
Interrogé sur la question, dans l’émission Jury du dimanche dont il était l’invité, ce 7 février, le Directeur de l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE) et responsable politique à l’Apr dit n’avoir aucun commentaire à faire sur cette histoire qui concerne deux personnes. « Comme tous les Sénégalais, je l’ai découvert à travers la presse. Donc, nous allons suivre. Mais, je considère que c’est une affaire privée. J’espère juste que la justice sera dite. C’est ça le plus important », indique-t-il.
Une position, qui pousse à se demander si ce n'est pas à cause de la consigne reçue par leur parti, d’autant plus que le leader du Pastef dénonce un complot ourdi par le pouvoir. A cela Cheikh Bakhoum répond par la négation. Pour lui, dire que c’est le pouvoir qui est derrière ces accusations pourrait être « un axe de défense » pour Ousmane Sonko. Et, qu'au sein l’Alliance pour la République (Apr) aucune consigne n’a été donnée dans ce sens.
Contrairement aux déclarations de Cheikh Bakhoum, le leader de l’APR le président Macky Sall a, selon le journal Source A, donné des instructions fermes à ses militants à travers un "Sms". « Bonjour chers camarades républicains, pour le cas Ousmane Sonko accusé de viol, la consigne du parti et de la coalition : ne pas se prononcer sur le sujet ! Excellente journée ! », a-t-il envoyé à ses militants.
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