Le discours lors de la cérémonie d'investiture de Bassirou Diomaye Faye, a été l'occasion pour Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, d'éclaircir l'épisode tragique du report de la présidentielle et les accusations de corruption portées contre deux de ses pairs, formulées notamment par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), après l'invalidation de la candidature de Karim Wade. D’après lui, il n’y a pas de crise institutionnelle.
"Le vainqueur de la Présidentielle a été clairement identifié dans les heures qui ont suivi la fermeture des bureaux de vote et les adversaires l'ont tous félicité dans la foulée. Cela tient presque du miracle. Sauf à relever que nos institutions, loin d'être en crise, tiennent debout dans le cadre de la Constitution, expression la plus achevée de la volonté populaire. Pour sa part, le Conseil Constitutionnel, face à ceux qui ont tenté de le déstabiliser par des moyens non-conventionnels, a, au nom du peuple, dit le droit, sans haine ni crainte", a dit le président du Conseil constitutionnel.
" Le président de la République et son gouvernement tout comme l’Assemblée nationale ont toujours accepté de se soumettre à nos décisions. Il n'y a pas une crise institutionnelle, mais une volonté commune de ne jamais sortir du cadre délimité par la Constitution", a-t-il ajouté.
"Le vainqueur de la Présidentielle a été clairement identifié dans les heures qui ont suivi la fermeture des bureaux de vote et les adversaires l'ont tous félicité dans la foulée. Cela tient presque du miracle. Sauf à relever que nos institutions, loin d'être en crise, tiennent debout dans le cadre de la Constitution, expression la plus achevée de la volonté populaire. Pour sa part, le Conseil Constitutionnel, face à ceux qui ont tenté de le déstabiliser par des moyens non-conventionnels, a, au nom du peuple, dit le droit, sans haine ni crainte", a dit le président du Conseil constitutionnel.
" Le président de la République et son gouvernement tout comme l’Assemblée nationale ont toujours accepté de se soumettre à nos décisions. Il n'y a pas une crise institutionnelle, mais une volonté commune de ne jamais sortir du cadre délimité par la Constitution", a-t-il ajouté.
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