Selon une source proche de l’affaire, « il est passé à l’action après avoir tenté vraiment de faire chanter le patron de la société Satrec depuis des années ». Ce, suite à son limogeage pour détournement de 16 millions de F CFA.
«Je vais saisir le fisc pour révéler toutes vos manœuvres frauduleuses », menaçait Alioune Diallo. Des menaces qui n’ont trouvé aucune réponse sonnante et trébuchante du côté de la Satrec.
En fait, Alioune Diallo était un employé de la Satrec et caissier de l’antenne de Saint-Louis. En cette qualité, il avait en charge la gestion des recettes encaissées sur la vente des produits. Des recettes qu’il devait déposer directement dans les comptes de l’entreprise dans les différentes banques, soit directement à la Direction général.
Mais, courant mai 2005, cette même direction de la Satrec constate, grâce au détecteur de faux billets, que le concerné avait versé dans ses caisses au titre des recettes de ventes de Saint-Louis un montant de 20 000 euros en coupure de 50, entièrement constitués de faux billets de banque.
Aussitôt, une plainte avant été déposée par la Satrec auprès du procureur de la République. La Division des investigations criminelles (Dic) est saisie pour enquêter dans cette affaire pour identifier le faussaire et ses éventuels complices. Pris au collet par les pièces à conviction, le sieur Diallo avoue son crime.
«Je vais saisir le fisc pour révéler toutes vos manœuvres frauduleuses », menaçait Alioune Diallo. Des menaces qui n’ont trouvé aucune réponse sonnante et trébuchante du côté de la Satrec.
En fait, Alioune Diallo était un employé de la Satrec et caissier de l’antenne de Saint-Louis. En cette qualité, il avait en charge la gestion des recettes encaissées sur la vente des produits. Des recettes qu’il devait déposer directement dans les comptes de l’entreprise dans les différentes banques, soit directement à la Direction général.
Mais, courant mai 2005, cette même direction de la Satrec constate, grâce au détecteur de faux billets, que le concerné avait versé dans ses caisses au titre des recettes de ventes de Saint-Louis un montant de 20 000 euros en coupure de 50, entièrement constitués de faux billets de banque.
Aussitôt, une plainte avant été déposée par la Satrec auprès du procureur de la République. La Division des investigations criminelles (Dic) est saisie pour enquêter dans cette affaire pour identifier le faussaire et ses éventuels complices. Pris au collet par les pièces à conviction, le sieur Diallo avoue son crime.