Jour de vérité pour Mamadou Lamine Massaly qui sera sur la sellette ce mardi 10 mars, date de son procès face au juge des flagrants délits. Le responsable libéral est poursuivi pour outrage et diffamation à l’endroit de la gendarmerie qu’il a accusée de tortures. Ce, lors de sa garde-à-vue dans l’affaire qui l’oppose à la présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), Aminata Tall. Un dossier en trois (3) temps.
En effet, c’est la reprise du procès du responsable libéral, Mamadou Lamine Massaly, aujourd’hui. Le face-à-face avec le juge des flagrants délits dans le cadre du dossier, a eu lieu le 3 mars dernier. Occasion que n’avait pas ratée le parquet pour demander le renvoi. Ce, au motif du «manque d’un élément essentiel » autrement dit du « Cd qui incrimine le prévenu ». En plus de « l’absence de l’Agent Judiciaire de l’Etat (AJE) ». Mais surprise pour les avocats de la défense composés de Mes Souleymane Ndené Ndiaye, El Hadji Amadou Sall, Adama Fall, Me Kane entre autres, qui plaidaient pour leur part, la tenue du procès, la liberté provisoire avait été accordée à leur client qui devait toutefois se présenter ce 10 mars, devant le juge pour la poursuite du dossier.
La partie ne cache pas sa joie. Par la voie de Me Adama Fall, elle tresse des lauriers à la Cour. La défense exulte. «Au-delà des pressions, de la rumeur, la justice est capable de s’élever, de prendre du recul et d’analyser les faits et analysant la situation, les juges ont estimé devoir mettre en liberté provisoire Mamadou Lamine Massaly. Cela est une décision à saluer… », préconisait ce dernier. Mais Mamadou Lamine Massaly et ses conseils déchanteront vite puisque la nouvelle tombera le lendemain de cette mise en liberté provisoire. Pire, le prévenu n’aura même le temps de sortir de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss pour voir cette décision annulée.
Car, le constat est là : Le responsable libéral ne bénéficiera pas finalement de la liberté provisoire qui lui a été accordée. Le Procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye a interjeté appel de la décision du Tribunal des flagrants délits. Arrêté une première fois après sa fumeuse sortie contre la présidente du CESE, Aminata Tall qu’il accuse de « prostituée politique », Massaly déclare avoir été torturé lors de sa garde-à-vue. Propos qu’il récuse mais qui lui valent un séjour à Rebeuss.
En effet, c’est la reprise du procès du responsable libéral, Mamadou Lamine Massaly, aujourd’hui. Le face-à-face avec le juge des flagrants délits dans le cadre du dossier, a eu lieu le 3 mars dernier. Occasion que n’avait pas ratée le parquet pour demander le renvoi. Ce, au motif du «manque d’un élément essentiel » autrement dit du « Cd qui incrimine le prévenu ». En plus de « l’absence de l’Agent Judiciaire de l’Etat (AJE) ». Mais surprise pour les avocats de la défense composés de Mes Souleymane Ndené Ndiaye, El Hadji Amadou Sall, Adama Fall, Me Kane entre autres, qui plaidaient pour leur part, la tenue du procès, la liberté provisoire avait été accordée à leur client qui devait toutefois se présenter ce 10 mars, devant le juge pour la poursuite du dossier.
La partie ne cache pas sa joie. Par la voie de Me Adama Fall, elle tresse des lauriers à la Cour. La défense exulte. «Au-delà des pressions, de la rumeur, la justice est capable de s’élever, de prendre du recul et d’analyser les faits et analysant la situation, les juges ont estimé devoir mettre en liberté provisoire Mamadou Lamine Massaly. Cela est une décision à saluer… », préconisait ce dernier. Mais Mamadou Lamine Massaly et ses conseils déchanteront vite puisque la nouvelle tombera le lendemain de cette mise en liberté provisoire. Pire, le prévenu n’aura même le temps de sortir de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss pour voir cette décision annulée.
Car, le constat est là : Le responsable libéral ne bénéficiera pas finalement de la liberté provisoire qui lui a été accordée. Le Procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye a interjeté appel de la décision du Tribunal des flagrants délits. Arrêté une première fois après sa fumeuse sortie contre la présidente du CESE, Aminata Tall qu’il accuse de « prostituée politique », Massaly déclare avoir été torturé lors de sa garde-à-vue. Propos qu’il récuse mais qui lui valent un séjour à Rebeuss.
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