A. Baldé, ancien directeur exécutif de l'ANOCI
L’Agence nationale pour l’organisation de la conférence islamique, (ANOCI) a été citée dans le dossier (détournement de deniers publics) de l’ARTP qui est en cours d’instruction.
En effet, il a été fait état, dans le cadre du traitement médiatique des accusations portées contre l'ancien Directeur général de l'Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), d'une subvention de 96 millions de francs Cfa qui aurait été versée dans les comptes de l'Agence Nationale de l'Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI).
Ce que récuse l’ex directeur exécutif de l’ANOCI. «Face à ces accusations dénuées de tout fondement, je tiens à apporter les précisions ci-après» a déclaré Abdoulaye Baldé avant de marteler que l'ANOCI n'a jamais reçu d'appui institutionnel de la part de l'ARTP encore moins perçu une subvention.
En réalité, rectifie-t-il «il convient de rappeler que l'ARTP a apporté ce soutien au même titre que d'autres sociétés de la place dont la SONATEL, le Groupe CCBM, la SAGAM et Computer Land».
Toutefois, «les factures du matériel et services ont été directement réglées par l’ARTP» selon les termes du communiqué de l’actuel ministre des Forces armées.
En effet, il a été fait état, dans le cadre du traitement médiatique des accusations portées contre l'ancien Directeur général de l'Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), d'une subvention de 96 millions de francs Cfa qui aurait été versée dans les comptes de l'Agence Nationale de l'Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI).
Ce que récuse l’ex directeur exécutif de l’ANOCI. «Face à ces accusations dénuées de tout fondement, je tiens à apporter les précisions ci-après» a déclaré Abdoulaye Baldé avant de marteler que l'ANOCI n'a jamais reçu d'appui institutionnel de la part de l'ARTP encore moins perçu une subvention.
En réalité, rectifie-t-il «il convient de rappeler que l'ARTP a apporté ce soutien au même titre que d'autres sociétés de la place dont la SONATEL, le Groupe CCBM, la SAGAM et Computer Land».
Toutefois, «les factures du matériel et services ont été directement réglées par l’ARTP» selon les termes du communiqué de l’actuel ministre des Forces armées.