Le Directoire National de BES DU ÑAKK sous la direction de son Président Mansour Sy Djamil, relativement « à la volonté des autorités gouvernementales de repousser les échéances électorales, au seul motif de vouloir appliquer cette réforme majeure par anticipation exprime sa profonde inquiétude sur la forme et dans le fonds. Sur la forme, il n’est pas cohérent de prendre d’abord la décision d’appliquer cette réforme et de remettre en question le calendrier électoral, pour ensuite inviter les acteurs politiques et la société civile à une concertation. Dans le fonds, Bes Du Ñakk se trouve dans l’impossibilité de prendre position par rapport à un document, fût-il le plus parfait, que son initiateur, en l’occurrence le Président de la République, ne lui a pas encore soumis, encore moins cautionner son application, les yeux bandés, sans en connaître les tenants et les aboutissants ».
« Il est donc urgent que le Président transmette officiellement ce document aux différents acteurs politiques et à la société civile, par les voies légales, et ouvre enfin une vraie concertation sur la question, car il y a encore beaucoup de questionnements sans réponses plausibles et rassurantes pour Bes Du Ñakk. Ce n’est que de cette manière qu’une réflexion collective pourrait se faire au niveau de l’Assemblée Nationale parce que les députés auront alors pris la pleine mesure des enjeux ».
Relativement à l’actualité parlementaire, « Bes Du Ñakk constate, pour le regretter, une absence totale d’indépendance de l’Assemblée Nationale placée sous la coupe réglée de l’Exécutif dans la formation du bureau de l’Assemblée Nationale et des commissions ».
« Il est urgent que les acteurs politiques se ressaisissent et se soumettent à l’éthique de la sacrosainte indépendance qui doit absolument exister entre l’Exécutif et le Législatif, piliers fondamentaux de notre démocratie, telle qu’édictée par la Charte de Gouvernance Démocratique des Assises Nationales signée par les leaders de la majorité présidentielle y compris le Président de la République », peut-on lire dans le communiqué.
« Il est donc urgent que le Président transmette officiellement ce document aux différents acteurs politiques et à la société civile, par les voies légales, et ouvre enfin une vraie concertation sur la question, car il y a encore beaucoup de questionnements sans réponses plausibles et rassurantes pour Bes Du Ñakk. Ce n’est que de cette manière qu’une réflexion collective pourrait se faire au niveau de l’Assemblée Nationale parce que les députés auront alors pris la pleine mesure des enjeux ».
Relativement à l’actualité parlementaire, « Bes Du Ñakk constate, pour le regretter, une absence totale d’indépendance de l’Assemblée Nationale placée sous la coupe réglée de l’Exécutif dans la formation du bureau de l’Assemblée Nationale et des commissions ».
« Il est urgent que les acteurs politiques se ressaisissent et se soumettent à l’éthique de la sacrosainte indépendance qui doit absolument exister entre l’Exécutif et le Législatif, piliers fondamentaux de notre démocratie, telle qu’édictée par la Charte de Gouvernance Démocratique des Assises Nationales signée par les leaders de la majorité présidentielle y compris le Président de la République », peut-on lire dans le communiqué.