La naissance du tourisme territorial s’inscrit dans une vision prospective d’un tourisme maitrisé, intégrateur de nos valeurs économiques, culturelles et sociales, rentable et profitable à chaque territoire et au Sénégal en priorité.
A partir de cette vision le tourisme va créer un mouvement et une interdépendance sans précédent dans l’histoire de nos activités économiques, culturelles et sociales en mettant les régions ou les territoires au cœur de la gestion du financement, de la promotion, et du développement local intégré de leur territoire. Il s’agira de créer et de développer avec des investisseurs, le secteur privé, des hôtels, des résidences meublées, des maisons d’hôtes, des campements, des villages de vacances, des agences de voyages, des agences de location de voitures, des agences réceptives, des agences d’ interprètes et de guides, des galeries d’arts, des restaurants, bars, cafés, casinos, des bureaux de changes et des centres artisanaux, d’autres enseignes et d’autres marques identifiable a un label régional, national ou international.
Dans l’acte trois de cette décentralisation le tourisme deviendra une compétence transférée et les régions prendront en charge leur politique régionale touristique, et vont identifier leurs potentialités touristiques, et déterminer leur réserve foncière pour optimiser leur rendement et leur affectation. Le financement de pôles touristiques d’aménagements et la création d’office de tourisme qui accompagnent les privés dans la définition des choix, des stratégies marketing, et des programmes pour couvrir autant la haute saison que la basse saison sera une avancée significative pour booster leur économie. Il y a cependant que les divisions administratives actuelles qui s'occupent du secteur du tourisme sont hétéroclites et dispatchés dans différents démembrements de l’Etat qui ne répondent pas à la totalité des besoins et des préoccupations de chaque région touristique.
L’acte trois de la décentralisation permet dans le schéma tel que présenté de capitaliser toute l’efficience requise d’unification, d’harmonisation de nos politiques de bonne gestion et de bonne gouvernance en matière :
- D’investissements touristiques, d’aménagements de pôles ou du territoire touristique, de promotion ciblée et des grands chantiers qui doivent répondre à la mobilité et à la sauvegarde de l’environnement et des espaces de loisirs. Cela veut dire en d’autres termes la création d’une autonomie de gestion de la destination interne à l’intérieur de la Destination Sénégal. C’est pour cela que les référentiels qui préparent l’acte trois de la décentralisation doivent être partagé avec un plus grand nombre d’acteurs, et que des journées de concertations techniques et sectorielles puissent faire l’objet avant tout, d’un document scientifique et pédagogique à destination des acteurs, décideurs et partenaires, pour apporter tout le soutien et les garanties nécessaires à l’épanouissement du secteur du tourisme dans le processus de décentralisation. A cet égard il est important de rappeler toute l’histoire du Tour operators et du réceptif dans le secteur du tourisme qui, il n'y a pas si longtemps, que le tourisme était organisé autour d'un « couple » appelé un Tour Operateur et un réceptif dans lequel les rôles étaient clairement répartis.
Le Tour operateur était chargé de la production, les négociations avec les compagnies aériennes, du marketing et de la vente. Le Tour operateur était celui qui programme et qui déprogramme une destination, c’est lui qui met en affiche et en vedette les destinations phares. Sa production est achetée par les agences de voyages, les clubs, et les associations moyennant un surplus ou simplement à la commission. C’est à la suite qu’est né un réseau de distribution plus dynamique et plus professionnel avec des agents commerciaux rompu à la tâche et qui avaient fini de s’imposer en maitre du jeu. L’agent réceptif, lui, avait la charge de la gestion du séjour, toutes les activités de loisirs tel que mentionnées dans le forfait du voyage et en dehors du forfait dans le cas d’un supplément à payer sur place. (Il s’agit des voitures 4x4, des tentes, des circuits et visites, des guides, des repas selon la formule et toute l’assistance nécessaire entre l’aéroport, l’hôtel et vice versa.
Les galeries et centres artisanaux recevaient la visite des groupes de touristes qui disposaient de suffisamment de temps pour apprécier marchander et acheter en toute tranquillité des objets de souvenirs. Ces moments d’échanges leur permettaient de partager avec les artisans quelques minutes sur la culture et l’histoire de la région ou du pays.
Et puis, hier à peine, avec l'apparition des nouvelles technologies de l’information et de la communication Internet avec le e-tourisme tout a été bouleversé et la donne va changer progressivement malgré la réticence de certains acteurs à prendre en compte ce phénomène du e-tourisme, le secteur a connu en quelques années des mutations sérieuses au point de casser le couple tour operateur et agent réceptif.
Quel regard et quelle approche, devons-nous avoir ? Si nous savons que toute l’économie de notre tourisme est en amont du produit, une véritable réflexion s’ouvre ici et les concertations sur le transfert de compétences avec la territorialisation devraient donner des pistes d’application et de solutions définitives.
Les rôles ont changer et la compétition va devenir de plus en plus rude avec l’arrivée de nouveaux métiers dans la communication et la distribution, mais surtout les nouvelles plateformes qui permettent aux hôteliers, aux compagnies aériennes et aux agences de voyages en ligne de capter directement une partie de la clientèle avec des offres inter actives, dans les sites web ou la réservation en ligne et le paiement sécurisé séduit de plus en plus les touristes, qui gagnent du temps et qui s’approprient les différentes offres touristiques qu’ils peuvent désormais visualiser. C’est ainsi que le réceptif gagne une nouvelle place, il peut établir une relation directe avec les voyageurs, produire et commercialiser de façon autonome. C’est dans ce processus que la régionalisation va trouver une nouvelle forme d’existence et d’appropriation d’un label touristique. Tout cela parce qu’Internet s'accorde aux nouvelles tendances du voyage, tout en étant un stimulateur de destination à travers les sites web, ou le voyage sur mesure, requiert des informations fiables à temps réel avec flexibilité et réactivité.
Ainsi nous assistons aujourd’hui après l'émergence des plateformes de commercialisation massive, de produits touristiques simples, (billet d'avion, nuit d'hôtel, location de voiture, circuit personnalisé etc. ... Et avec les calls centre, de nouveaux acteurs ont fait irruption pour capter la demande toujours croissante sur internet essentiellement via de gros investissements dans le référencement.
Et pour demain le présent nous indique que le monde sera plus technologique et pointu avec polyvalence. Ainsi les grands ensembles vont surfer sur l’économie touristique mondiale, avec la combinaison Avion, Hôtel, transport terrestre et la consommation locale (restauration et produits artisanaux). Que faire ?
Le tour operateur devient ainsi l’avionneur, l’hôtelier, l’autocariste, et prestataire de services terrestres. Que reste t-ils aux petits exploitants et propriétaires de campements, de touristes chez l’habitant ? Quelle clientèle vont-ils cibler ? Dans quel réseau ou organisation vont-ils s’insérer pour continuer à exister ? La réponse se trouve dans la décentralisation, ou le concept de destination retrouve tout son sens et son intérêt par le marketing territorial qui est une nécessité pour le développement touristique.
Rêvons, d'un outil qui permet d'intégrer toute la chaîne de production, aussi bien pour le réceptif que pour le Tour Operateur. Et où chaque acteur petit ou grand trouvera son bonheur et sa réussite dans ce monde du tourisme et c’est possible. Un outil qui permettrait de concevoir quasi instantanément des circuits sur mesure complexes avec fiche circuit multimédia et multilingue, de gérer les réservations, les ventes les paiements, les vouchers, les circuits de voyages les finances, et même de générer des sites web ou la complémentarité permet de suggérer la visite d’autres régions.
Un outil unique qui permettrait de faire tout cela 100 % online, et changerait le travail quotidien des acteurs du tourisme et qui ouvre les portes d'un partenariat inédit, en connectant tous les acteurs dont le produit peut constituer un complément à la découverte du séjour du touriste. Un outil qui n’exclut personne et qui donne la chance à ceux qui aiment travailler qui le courage le savoir-faire et la qualité comme credo
L’Acte 3 de la décentralisation, permettra d’élaborer une nouvelle politique touristique décentralisée et d’asseoir des territoires viables et compétitifs porteurs d’un développement du tourisme durable. Elle va également replacer nos métiers du tourisme et principalement l'hôtellerie « l’hébergement en général » dans le grand ensemble de l’industrie touristique ou il est question de beaucoup de mutations, à travers le marketing territorial qui vise à promouvoir un lieu, une commune, une région en créant une « marque » autour du territoire, autrement dit une sorte de signature, et une marque qui permet de se « démarquer » des autres régions et territoires.
La finalité est de développer à la fois le tourisme et l’économie du territoire. De plus en plus de territoires dans le monde cherchent à exploiter ce concept pour promouvoir leur espace. A présent les territoires sénégalais sont obligés de passer par le phénomène du marketing territorial pour sortir du lot, ce qui fait référence à l’acte trois de la décentralisation. La question mérite réflexion et doit faire l’objet d’une note qui renvoie directement au plaidoyer pour le tourisme intérieur « création d’emploi, création d’activités nouvelles ». Par ailleurs, on peut se demander si la mise en place d’un marketing territorial est favorable pour chaque niveau territorial, à savoir une ville, un département, une région, etc… Là, également, le découpage de zones en promotions et en aménagements trouve tout son sens et son utilité à coupler la Sapco et la cellule de promotion dans une même agence ou une société nationale de promotion et d’aménagement touristique avec des compétences au top management dans les actions territoriales pour une meilleure gouvernance du tourisme.
La finalité du marketing territorial est de renforcer l’attractivité d’un territoire par la mise en exergue d’une identité forte qui le distingue des autres territoires qui peuvent devenir concurrents, non seulement auprès des touristes, mais également auprès des entreprises et des investisseurs.
A partir de cette vision le tourisme va créer un mouvement et une interdépendance sans précédent dans l’histoire de nos activités économiques, culturelles et sociales en mettant les régions ou les territoires au cœur de la gestion du financement, de la promotion, et du développement local intégré de leur territoire. Il s’agira de créer et de développer avec des investisseurs, le secteur privé, des hôtels, des résidences meublées, des maisons d’hôtes, des campements, des villages de vacances, des agences de voyages, des agences de location de voitures, des agences réceptives, des agences d’ interprètes et de guides, des galeries d’arts, des restaurants, bars, cafés, casinos, des bureaux de changes et des centres artisanaux, d’autres enseignes et d’autres marques identifiable a un label régional, national ou international.
Dans l’acte trois de cette décentralisation le tourisme deviendra une compétence transférée et les régions prendront en charge leur politique régionale touristique, et vont identifier leurs potentialités touristiques, et déterminer leur réserve foncière pour optimiser leur rendement et leur affectation. Le financement de pôles touristiques d’aménagements et la création d’office de tourisme qui accompagnent les privés dans la définition des choix, des stratégies marketing, et des programmes pour couvrir autant la haute saison que la basse saison sera une avancée significative pour booster leur économie. Il y a cependant que les divisions administratives actuelles qui s'occupent du secteur du tourisme sont hétéroclites et dispatchés dans différents démembrements de l’Etat qui ne répondent pas à la totalité des besoins et des préoccupations de chaque région touristique.
L’acte trois de la décentralisation permet dans le schéma tel que présenté de capitaliser toute l’efficience requise d’unification, d’harmonisation de nos politiques de bonne gestion et de bonne gouvernance en matière :
- D’investissements touristiques, d’aménagements de pôles ou du territoire touristique, de promotion ciblée et des grands chantiers qui doivent répondre à la mobilité et à la sauvegarde de l’environnement et des espaces de loisirs. Cela veut dire en d’autres termes la création d’une autonomie de gestion de la destination interne à l’intérieur de la Destination Sénégal. C’est pour cela que les référentiels qui préparent l’acte trois de la décentralisation doivent être partagé avec un plus grand nombre d’acteurs, et que des journées de concertations techniques et sectorielles puissent faire l’objet avant tout, d’un document scientifique et pédagogique à destination des acteurs, décideurs et partenaires, pour apporter tout le soutien et les garanties nécessaires à l’épanouissement du secteur du tourisme dans le processus de décentralisation. A cet égard il est important de rappeler toute l’histoire du Tour operators et du réceptif dans le secteur du tourisme qui, il n'y a pas si longtemps, que le tourisme était organisé autour d'un « couple » appelé un Tour Operateur et un réceptif dans lequel les rôles étaient clairement répartis.
Le Tour operateur était chargé de la production, les négociations avec les compagnies aériennes, du marketing et de la vente. Le Tour operateur était celui qui programme et qui déprogramme une destination, c’est lui qui met en affiche et en vedette les destinations phares. Sa production est achetée par les agences de voyages, les clubs, et les associations moyennant un surplus ou simplement à la commission. C’est à la suite qu’est né un réseau de distribution plus dynamique et plus professionnel avec des agents commerciaux rompu à la tâche et qui avaient fini de s’imposer en maitre du jeu. L’agent réceptif, lui, avait la charge de la gestion du séjour, toutes les activités de loisirs tel que mentionnées dans le forfait du voyage et en dehors du forfait dans le cas d’un supplément à payer sur place. (Il s’agit des voitures 4x4, des tentes, des circuits et visites, des guides, des repas selon la formule et toute l’assistance nécessaire entre l’aéroport, l’hôtel et vice versa.
Les galeries et centres artisanaux recevaient la visite des groupes de touristes qui disposaient de suffisamment de temps pour apprécier marchander et acheter en toute tranquillité des objets de souvenirs. Ces moments d’échanges leur permettaient de partager avec les artisans quelques minutes sur la culture et l’histoire de la région ou du pays.
Et puis, hier à peine, avec l'apparition des nouvelles technologies de l’information et de la communication Internet avec le e-tourisme tout a été bouleversé et la donne va changer progressivement malgré la réticence de certains acteurs à prendre en compte ce phénomène du e-tourisme, le secteur a connu en quelques années des mutations sérieuses au point de casser le couple tour operateur et agent réceptif.
Quel regard et quelle approche, devons-nous avoir ? Si nous savons que toute l’économie de notre tourisme est en amont du produit, une véritable réflexion s’ouvre ici et les concertations sur le transfert de compétences avec la territorialisation devraient donner des pistes d’application et de solutions définitives.
Les rôles ont changer et la compétition va devenir de plus en plus rude avec l’arrivée de nouveaux métiers dans la communication et la distribution, mais surtout les nouvelles plateformes qui permettent aux hôteliers, aux compagnies aériennes et aux agences de voyages en ligne de capter directement une partie de la clientèle avec des offres inter actives, dans les sites web ou la réservation en ligne et le paiement sécurisé séduit de plus en plus les touristes, qui gagnent du temps et qui s’approprient les différentes offres touristiques qu’ils peuvent désormais visualiser. C’est ainsi que le réceptif gagne une nouvelle place, il peut établir une relation directe avec les voyageurs, produire et commercialiser de façon autonome. C’est dans ce processus que la régionalisation va trouver une nouvelle forme d’existence et d’appropriation d’un label touristique. Tout cela parce qu’Internet s'accorde aux nouvelles tendances du voyage, tout en étant un stimulateur de destination à travers les sites web, ou le voyage sur mesure, requiert des informations fiables à temps réel avec flexibilité et réactivité.
Ainsi nous assistons aujourd’hui après l'émergence des plateformes de commercialisation massive, de produits touristiques simples, (billet d'avion, nuit d'hôtel, location de voiture, circuit personnalisé etc. ... Et avec les calls centre, de nouveaux acteurs ont fait irruption pour capter la demande toujours croissante sur internet essentiellement via de gros investissements dans le référencement.
Et pour demain le présent nous indique que le monde sera plus technologique et pointu avec polyvalence. Ainsi les grands ensembles vont surfer sur l’économie touristique mondiale, avec la combinaison Avion, Hôtel, transport terrestre et la consommation locale (restauration et produits artisanaux). Que faire ?
Le tour operateur devient ainsi l’avionneur, l’hôtelier, l’autocariste, et prestataire de services terrestres. Que reste t-ils aux petits exploitants et propriétaires de campements, de touristes chez l’habitant ? Quelle clientèle vont-ils cibler ? Dans quel réseau ou organisation vont-ils s’insérer pour continuer à exister ? La réponse se trouve dans la décentralisation, ou le concept de destination retrouve tout son sens et son intérêt par le marketing territorial qui est une nécessité pour le développement touristique.
Rêvons, d'un outil qui permet d'intégrer toute la chaîne de production, aussi bien pour le réceptif que pour le Tour Operateur. Et où chaque acteur petit ou grand trouvera son bonheur et sa réussite dans ce monde du tourisme et c’est possible. Un outil qui permettrait de concevoir quasi instantanément des circuits sur mesure complexes avec fiche circuit multimédia et multilingue, de gérer les réservations, les ventes les paiements, les vouchers, les circuits de voyages les finances, et même de générer des sites web ou la complémentarité permet de suggérer la visite d’autres régions.
Un outil unique qui permettrait de faire tout cela 100 % online, et changerait le travail quotidien des acteurs du tourisme et qui ouvre les portes d'un partenariat inédit, en connectant tous les acteurs dont le produit peut constituer un complément à la découverte du séjour du touriste. Un outil qui n’exclut personne et qui donne la chance à ceux qui aiment travailler qui le courage le savoir-faire et la qualité comme credo
L’Acte 3 de la décentralisation, permettra d’élaborer une nouvelle politique touristique décentralisée et d’asseoir des territoires viables et compétitifs porteurs d’un développement du tourisme durable. Elle va également replacer nos métiers du tourisme et principalement l'hôtellerie « l’hébergement en général » dans le grand ensemble de l’industrie touristique ou il est question de beaucoup de mutations, à travers le marketing territorial qui vise à promouvoir un lieu, une commune, une région en créant une « marque » autour du territoire, autrement dit une sorte de signature, et une marque qui permet de se « démarquer » des autres régions et territoires.
La finalité est de développer à la fois le tourisme et l’économie du territoire. De plus en plus de territoires dans le monde cherchent à exploiter ce concept pour promouvoir leur espace. A présent les territoires sénégalais sont obligés de passer par le phénomène du marketing territorial pour sortir du lot, ce qui fait référence à l’acte trois de la décentralisation. La question mérite réflexion et doit faire l’objet d’une note qui renvoie directement au plaidoyer pour le tourisme intérieur « création d’emploi, création d’activités nouvelles ». Par ailleurs, on peut se demander si la mise en place d’un marketing territorial est favorable pour chaque niveau territorial, à savoir une ville, un département, une région, etc… Là, également, le découpage de zones en promotions et en aménagements trouve tout son sens et son utilité à coupler la Sapco et la cellule de promotion dans une même agence ou une société nationale de promotion et d’aménagement touristique avec des compétences au top management dans les actions territoriales pour une meilleure gouvernance du tourisme.
La finalité du marketing territorial est de renforcer l’attractivité d’un territoire par la mise en exergue d’une identité forte qui le distingue des autres territoires qui peuvent devenir concurrents, non seulement auprès des touristes, mais également auprès des entreprises et des investisseurs.
Mouhamed Faouzou Dème
Ancien Conseiller Spécial du Ministre du tourisme,
du Président du Conseil d'Orientation, et du Directeur Général
de l'Agence Nationale de Promotion Touristique ANPT
Actuellement Chargé de cours à l'UGB et a ESTEL
Expert Consultant en stratégie et développement touristique
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