En prélude à la conférence internationale sur la problématique des Daaras au Sénégal, l’Ong action solidarité islamique (Asi) a tenu une conférence de presse ce matin dans les locaux du ministère des affaires étrangères. La manifestation se tient sur trois jours. La cérémonie d’ouverture sera présidée par le président de la République, le 17 juillet prochain à Dakar. Des experts venant de la Suisse, des Usa, du Maroc, de la Guinée Conakry, de la Gambie, des Comores et de la Mauritanie participeront aux différents débats et ateliers initiés lors de ce congrès.
En effet, après la cérémonie d’ouverture le samedi matin, suivra une séance plénière avec des communications. Chacun des intervenants tentera de donner son idée sur la question. Deux ateliers sont aussi prévus. Les participants feront le diagnostic du secteur afin de voir comment pourrait se faire la prise en charge. Cependant, il est clair que pour une bonne organisation de cette dernière, il faut des statistiques fiables. Un simple diagnostic ne suffirait donc pas. Le représentant du ministère de l’éducation à cette conférence de presse assure et rassure, « il ne reste plus que le tri pour choisir celui qui effectuera les statistiques, déjà que l’Unicef est prêt à financer le recensement de ces écoles coraniques ».
L’autre atelier vise lui à établir un currula. L’Asi attend à travers ses deux ateliers dessiner une porte-sortie de crise. Le Dr Ciré Ly et ses collaborateurs entendent inscrire une politique de mise en œuvre fiable afin d’éradiquer la mendicité chez les talibés. C’est alors l’enseignement, la formation et la mendicité des enfants qui constitueront les points focaux lors des échanges.
Par ailleurs, « nous visiterons trois daraas avec nos invités », a annoncé le président de la commission scientifique, Mbarack Diop.
Le budget prévisionnel s’élève à 44 millions. Et jusqu’à ce matin, seuls onze millions ont été collecté. Le président de l’Asi, Dr Ciré Ly reste quand même confiant et convaincu qu’il sera bouclé avant samedi.
Sur un autre registre, l’on se demanderait quelle partition peuvent jouer les familles religieuses dans ce combat. Car beaucoup de daaras dépendent de celle-ci. Le Dr Ly informe à cet effet que, « toutes les familles sénégalaises sont religieuses il n’y a que les confréries qui les différencient parfois. Nous sommes proches de ces confréries et les fréquentons. Pour notre conférence le défunt khalife des mourides par exemple avait désigné son fils pour l’y représenter, reste maintenant à savoir s’il sera reconduit ou pas ».
En effet, après la cérémonie d’ouverture le samedi matin, suivra une séance plénière avec des communications. Chacun des intervenants tentera de donner son idée sur la question. Deux ateliers sont aussi prévus. Les participants feront le diagnostic du secteur afin de voir comment pourrait se faire la prise en charge. Cependant, il est clair que pour une bonne organisation de cette dernière, il faut des statistiques fiables. Un simple diagnostic ne suffirait donc pas. Le représentant du ministère de l’éducation à cette conférence de presse assure et rassure, « il ne reste plus que le tri pour choisir celui qui effectuera les statistiques, déjà que l’Unicef est prêt à financer le recensement de ces écoles coraniques ».
L’autre atelier vise lui à établir un currula. L’Asi attend à travers ses deux ateliers dessiner une porte-sortie de crise. Le Dr Ciré Ly et ses collaborateurs entendent inscrire une politique de mise en œuvre fiable afin d’éradiquer la mendicité chez les talibés. C’est alors l’enseignement, la formation et la mendicité des enfants qui constitueront les points focaux lors des échanges.
Par ailleurs, « nous visiterons trois daraas avec nos invités », a annoncé le président de la commission scientifique, Mbarack Diop.
Le budget prévisionnel s’élève à 44 millions. Et jusqu’à ce matin, seuls onze millions ont été collecté. Le président de l’Asi, Dr Ciré Ly reste quand même confiant et convaincu qu’il sera bouclé avant samedi.
Sur un autre registre, l’on se demanderait quelle partition peuvent jouer les familles religieuses dans ce combat. Car beaucoup de daaras dépendent de celle-ci. Le Dr Ly informe à cet effet que, « toutes les familles sénégalaises sont religieuses il n’y a que les confréries qui les différencient parfois. Nous sommes proches de ces confréries et les fréquentons. Pour notre conférence le défunt khalife des mourides par exemple avait désigné son fils pour l’y représenter, reste maintenant à savoir s’il sera reconduit ou pas ».