Le journaliste Adama Gaye, récemment entendu par la Division des investigations criminelles (DIC), a de nouveau été convoqué, cette fois par la Division de la Cybercriminalité. Cette nouvelle convocation fait suite à une plainte déposée par Abass Fall, ministre du Travail, concernant l'affaire de l'Agence Sénégalaise d'Électrification Rurale (ASER).
Dans une publication sur son compte Facebook, Adama Gaye a révélé les circonstances de cette convocation.
« Allo, ici Inspecteur Diallo de la Cybercriminalité, êtes-vous Monsieur Gaye? Il est 22h 20, ce soir, mercredi 11 décembre, quand je reçois cet appel... À nouveau, me voici, après un mois de séjour au Sénégal, convoqué par la Division de la Cybercriminalité. Sur la plainte d'Abass Fall concernant l'Aser », a-t-il écrit sur Facebook.
"Pourquoi un mois ? Pourquoi maintenant ? Peuple du Sénégal, je vous prends encore à témoin. Une fois de plus... J'informe la communauté internationale. Mes engagements internationaux, cruciaux, sont hypothéqués. Suis-je entrain de payer le verdict du procès instruit contre ma personne par l'Etat du Sénégal sur les circonstances de la mort de l'ancien ministre des finances ?", s'est interrogé Adama Gaye.
Bien qu'il n'ait pas précisé la date de sa convocation, Adama Gaye espère que les autorités attendront le retour de son avocat, actuellement hors du pays.
« Je ne me sens plus en sécurité. Mon sixième sens me dit que quelque chose de grave se prépare contre ma personne, et je sens que plus rien n'est sûr ici: même si répondre à une convocation d'une institution de sécurité devrait relever d'une formalité, l'enchaînement des convocations qui me sont opposées alors que des urgences m'attendent hors des frontières de mon pays me fait craindre le pire. Suis-je en danger ? Dois-je quitter mon pays pour vivre à l'étranger ? Qui en veut à ma personne? Je donne ma langue au chat », a-t-il poursuivi.
Le journaliste a également exprimé de vives inquiétudes sur sa sécurité : « Mon sixième sens me dit que quelque chose de grave se prépare contre ma personne, et je sens que plus rien n'est sûr ici: même si répondre à une convocation d'une institution de sécurité devrait relever d'une formalité, l'enchaînement des convocations qui me sont opposées alors que des urgences m'attendent hors des frontières de mon pays me fait craindre le pire », a-t-il alerté.
Enfin, le journaliste invite la « communauté internationale, France, USA, Espagne, Onu, Ua, Ue, Amnesty International et toutes les instances soucieuses de la préservation des droits humains », à prendre son « cas très au sérieux ! ».
Dans une publication sur son compte Facebook, Adama Gaye a révélé les circonstances de cette convocation.
« Allo, ici Inspecteur Diallo de la Cybercriminalité, êtes-vous Monsieur Gaye? Il est 22h 20, ce soir, mercredi 11 décembre, quand je reçois cet appel... À nouveau, me voici, après un mois de séjour au Sénégal, convoqué par la Division de la Cybercriminalité. Sur la plainte d'Abass Fall concernant l'Aser », a-t-il écrit sur Facebook.
"Pourquoi un mois ? Pourquoi maintenant ? Peuple du Sénégal, je vous prends encore à témoin. Une fois de plus... J'informe la communauté internationale. Mes engagements internationaux, cruciaux, sont hypothéqués. Suis-je entrain de payer le verdict du procès instruit contre ma personne par l'Etat du Sénégal sur les circonstances de la mort de l'ancien ministre des finances ?", s'est interrogé Adama Gaye.
Bien qu'il n'ait pas précisé la date de sa convocation, Adama Gaye espère que les autorités attendront le retour de son avocat, actuellement hors du pays.
« Je ne me sens plus en sécurité. Mon sixième sens me dit que quelque chose de grave se prépare contre ma personne, et je sens que plus rien n'est sûr ici: même si répondre à une convocation d'une institution de sécurité devrait relever d'une formalité, l'enchaînement des convocations qui me sont opposées alors que des urgences m'attendent hors des frontières de mon pays me fait craindre le pire. Suis-je en danger ? Dois-je quitter mon pays pour vivre à l'étranger ? Qui en veut à ma personne? Je donne ma langue au chat », a-t-il poursuivi.
Le journaliste a également exprimé de vives inquiétudes sur sa sécurité : « Mon sixième sens me dit que quelque chose de grave se prépare contre ma personne, et je sens que plus rien n'est sûr ici: même si répondre à une convocation d'une institution de sécurité devrait relever d'une formalité, l'enchaînement des convocations qui me sont opposées alors que des urgences m'attendent hors des frontières de mon pays me fait craindre le pire », a-t-il alerté.
Enfin, le journaliste invite la « communauté internationale, France, USA, Espagne, Onu, Ua, Ue, Amnesty International et toutes les instances soucieuses de la préservation des droits humains », à prendre son « cas très au sérieux ! ».