La coalition Benno Bokk Yaakar a, finalement ce mercredi 04, déposé sa motion de censure, le tout avec une ferme détermination. Le groupe parlementaire de l'ancienne coalition au pouvoir s'est distingué lundi dernier d'une forte manière. Elle a tout simplement refusé de voter la loi portant dissolution du HCCT et du CESE. La parlementaire, Adji Mergane Kanouté membre du groupe parlementaire, après s'être prononcé sur ce rejet, a abordé les nouvelles orientations de Benno Bokk Yakaar en tant qu'entité politique. C'est en quelque sorte une orientation voulue par l'ancien président de la République, Macky Sall, de l'avis de madame Kanouté.
« Je pense, ce dont parle le Président Macky Sall, il ne parle pas d’une dissolution de la coalition, mais nous allons aller vers une reformulation, vers une dénomination. Ce nouveau cadre va disposer d’un n’autre nom autre que BBY. Cela n’a aucune incidence sur le travail du parlementaire, notamment du groupe parlementaire qui reste un groupe soudé, solidaire et qui unit, parviendra à avoir la majorité lors du vote de la motion de censure », a déclaré Adji Mergane Kanouté, vice- présidente du groupe parlement BBY.
Interpelée sur la dissolution de l’Assemblée nationale, la parlementaire précise qu’"à partir du 12 septembre cela ne leur empêchera pas de faire leur travail".
En revanche, le président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi (YAW), minimise l’acte posé par BBY. Le député Ayib Daffé "attend de voir la suite de cette initiative de l’oppositioné, a rapporté Iradio.
« Je pense, ce dont parle le Président Macky Sall, il ne parle pas d’une dissolution de la coalition, mais nous allons aller vers une reformulation, vers une dénomination. Ce nouveau cadre va disposer d’un n’autre nom autre que BBY. Cela n’a aucune incidence sur le travail du parlementaire, notamment du groupe parlementaire qui reste un groupe soudé, solidaire et qui unit, parviendra à avoir la majorité lors du vote de la motion de censure », a déclaré Adji Mergane Kanouté, vice- présidente du groupe parlement BBY.
Interpelée sur la dissolution de l’Assemblée nationale, la parlementaire précise qu’"à partir du 12 septembre cela ne leur empêchera pas de faire leur travail".
En revanche, le président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi (YAW), minimise l’acte posé par BBY. Le député Ayib Daffé "attend de voir la suite de cette initiative de l’oppositioné, a rapporté Iradio.
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