L’arrêt pur et simple de l’administration provisoire d’AHS dont la Commission d’Instruction (CI) de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) a confié à la société Add-Value, c’est ce que demandent les conseils de Pierre Goudjo Agboba, Mamadou Pouye et Bibo Bourgi qui ont saisi depuis le 25 juillet dernier, la CI d’une requête aux fins de révocation d’Add-Value Finance Sa, pour le compte de qui Abdoulaye Sylla agit.
Dans leur correspondance dont nos confrères de « L’as » détiennent une copie, les plaideurs demandent au président Bèye et aux autres membres de la CI de mettre hors d’état de nuire la société Add-Value Finance. Loin de s’en arrêter là, ils veulent l’arrêt pur et simple de cette administration provisoire « qui met en péril l’avenir d’AHS et de ses 450 salariés ».
Par ailleurs, ajoutent-ils, Add-Value Finance ne travaille pas dans l’intérêt d’AHS (qui est au bord de la faillite) et sa révocation est une « nécessité impérieuse et vitale ».
Dans leur correspondance dont nos confrères de « L’as » détiennent une copie, les plaideurs demandent au président Bèye et aux autres membres de la CI de mettre hors d’état de nuire la société Add-Value Finance. Loin de s’en arrêter là, ils veulent l’arrêt pur et simple de cette administration provisoire « qui met en péril l’avenir d’AHS et de ses 450 salariés ».
Par ailleurs, ajoutent-ils, Add-Value Finance ne travaille pas dans l’intérêt d’AHS (qui est au bord de la faillite) et sa révocation est une « nécessité impérieuse et vitale ».