Sa date de livraison prévue depuis novembre 2010, l’AIBD risque de coûter très très chère au Sénégal. En effet, avec ses multiples rallonges à coups de milliards, le fameux projet de l’ancien président Wade est en train d’engloutir pas moins la bagatelle somme de 500 milliards à savoir un quart du budget du Sénégal.
Déjà, à l’heure du démarrage, Saudi Bin Ladin, le constructeur de l’aéroport en 33 mois, a rallongé le coût initial du contrat à hauteur de 153, 5 milliards dans un premier avenant.
Au plus fort des travaux, les ingénieurs Saoudiens qui se rendent compte que le terrain n’est encore apte à recevoir «bijou», demandent un second rallonge pour boucher les grandes cavités découvertes au sous-sol. Comme, il n’était pas question de «refaire le site » dans le contrat initial, l’Etat débloque à nouveau 46 milliards.
Loin d’être fini, le 17 juin 2011, l’entreprise relance l’Etat pour la finalisation des négociations sur le financement à long terme, cette fois-ci, à hauteur de 27 milliards.
Pis, pour le bouclage des travaux de l’aéroport, la société Saudi Bin Ladin redemande cette fois-ci, le paiement des «coûts additionnels» de 46 milliards.
Une énième facture que, selon des sources proches du dossier, les banques jugent excessives et qui empêche les «travaux d’être menés à terme», livre le journal, «L’Observateur».
Déjà, à l’heure du démarrage, Saudi Bin Ladin, le constructeur de l’aéroport en 33 mois, a rallongé le coût initial du contrat à hauteur de 153, 5 milliards dans un premier avenant.
Au plus fort des travaux, les ingénieurs Saoudiens qui se rendent compte que le terrain n’est encore apte à recevoir «bijou», demandent un second rallonge pour boucher les grandes cavités découvertes au sous-sol. Comme, il n’était pas question de «refaire le site » dans le contrat initial, l’Etat débloque à nouveau 46 milliards.
Loin d’être fini, le 17 juin 2011, l’entreprise relance l’Etat pour la finalisation des négociations sur le financement à long terme, cette fois-ci, à hauteur de 27 milliards.
Pis, pour le bouclage des travaux de l’aéroport, la société Saudi Bin Ladin redemande cette fois-ci, le paiement des «coûts additionnels» de 46 milliards.
Une énième facture que, selon des sources proches du dossier, les banques jugent excessives et qui empêche les «travaux d’être menés à terme», livre le journal, «L’Observateur».