L'affaire Aïda Ndiongue du nom de la responsable libérale dans les liens de la détention depuis le 17 décembre dernier dans le cadre du fumeux dossier du plan Jaxaay semble être une véritable patate chaude entre les mains de la juridiction de recours. La question est d'autant plus d'actualité qu'à trois reprises déjà, les juges de la Cour d’appel ont reporté le délibéré sur les requêtes déposées par les avocats de l’ancienne mairesse des HLM. Et pour couronner le tout, alors qu’ils avaient promis de vider l’affaire hier, ils ont rabattu le délibéré avant de renvoyer les parties à l’audience du 25 mars prochain.
De plus, l’un des avocats de la détenue du Camp pénal soutient que le procureur ne leur a même pas adressé une lettre pour leur faire part d’arguments nouveaux ou de pièces nouvelles. C’est dire que le Parquet général précise le journal "l'as", non plus ne semble pas être inscrit dans cette logique. Ce, «à moins que le procureur général ne saisisse directement la chambre d’accusation par lettre», assure la robe noire.
Loin d'avoir dit son dernier mot, la défense de l'ex-sénatrice a introduit un recours contre les délégations judiciaires. Espérons que mardi prochain sera le bon jour pour Aïda Ndiongue et Cie.
De plus, l’un des avocats de la détenue du Camp pénal soutient que le procureur ne leur a même pas adressé une lettre pour leur faire part d’arguments nouveaux ou de pièces nouvelles. C’est dire que le Parquet général précise le journal "l'as", non plus ne semble pas être inscrit dans cette logique. Ce, «à moins que le procureur général ne saisisse directement la chambre d’accusation par lettre», assure la robe noire.
Loin d'avoir dit son dernier mot, la défense de l'ex-sénatrice a introduit un recours contre les délégations judiciaires. Espérons que mardi prochain sera le bon jour pour Aïda Ndiongue et Cie.