L’ancien ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, s’est exprimé sur la destitution de Barthélémy Dias de l’Assemblée nationale et de la mairie de Dakar. Il regrette profondément que des juges soient encore sollicités pour arbitrer des dossiers à forte connotation politique.
« La décision de la Cour d’appel nous édifiera sur le bon droit en la matière. Mais je regrette sincèrement que le juge soit encore invité à arbitrer un dossier éminemment politicien », a-t-il souligné.
Pour Abdoulaye Diouf Sarr, cette situation n’est pas nouvelle et s’inscrit dans une longue histoire de confusions politiques qui, selon lui, nuisent au bon fonctionnement des institutions.
« Certes, ce n’est pas nouveau. L’histoire politique du Sénégal regorge de cas de confusions politiques qui impactent négativement les institutions », a-t-il ajouté.
L’ancien directeur général du FONSIS (Fonds souverain d’investissements stratégiques) appelle à un dialogue institutionnel en vue de réformes structurelles pour renforcer la démocratie.
« Vous posez le vrai problème de notre démocratie. Si la confusion dans le jeu des institutions perdure, le Sénégal n'est pas à l'abri du chaos. J'espère que le débat sur les institutions sera sérieusement abordé pour initier des reformes qui feront avancer la démocratie dans un état de droit », a dit Abdoulaye Diouf Sarr.
« La décision de la Cour d’appel nous édifiera sur le bon droit en la matière. Mais je regrette sincèrement que le juge soit encore invité à arbitrer un dossier éminemment politicien », a-t-il souligné.
Pour Abdoulaye Diouf Sarr, cette situation n’est pas nouvelle et s’inscrit dans une longue histoire de confusions politiques qui, selon lui, nuisent au bon fonctionnement des institutions.
« Certes, ce n’est pas nouveau. L’histoire politique du Sénégal regorge de cas de confusions politiques qui impactent négativement les institutions », a-t-il ajouté.
L’ancien directeur général du FONSIS (Fonds souverain d’investissements stratégiques) appelle à un dialogue institutionnel en vue de réformes structurelles pour renforcer la démocratie.
« Vous posez le vrai problème de notre démocratie. Si la confusion dans le jeu des institutions perdure, le Sénégal n'est pas à l'abri du chaos. J'espère que le débat sur les institutions sera sérieusement abordé pour initier des reformes qui feront avancer la démocratie dans un état de droit », a dit Abdoulaye Diouf Sarr.