« Le Mouvement Tekki appelle les différentes composantes de Benno Siggil Senegaal à sauver la démocratie sénégalaise et libérer Barthélémy Dias et Malick Noël Seck », lit-on dans un communiqué de ce parti politique.
Le Mouvement Tekki dit « s’inquiéter de l’insécurité grandissante en Casamance, notamment dans les départements de Goudomp et Bounkiling ».
Dans cette partie du pays, il y a deux semaines, l’armée sénégalaise a perdu une dizaine de soldats dans des attaques supposées être le fait des indépendantistes du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC). Cinq soldats sont détenus par le MFDC, selon l’état-major général des Armées sénégalaises.
Le Mouvement Tekki, dirigé par Mamadou Lamine Diallo, un fonctionnaire international et ancien conseiller de Premiers ministres du Sénégal, « en appelle encore à des concertations nationales sur la question (le conflit en Casamance), comme le recommandaient les Assises nationales », une concertation menée de juin 2008 à mai 2009 par plusieurs segments socioprofessionnels du pays.
Le Mouvement Tekki « salue la grande mobilisation citoyenne du 23 décembre 2011 pour s’opposer à la candidature inconstitutionnelle du président [Abdoulaye] Wade et demande au M-23 d’intensifier la lutte pour faire aboutir sa plateforme revendicative ».
Le M-23 fédère des partis de l’opposition et des organisations de la société civile contestant la candidature du président Wade à l’élection présidentielle du 26 février prochain.
Le Mouvement Tekki dit « s’inquiéter de l’insécurité grandissante en Casamance, notamment dans les départements de Goudomp et Bounkiling ».
Dans cette partie du pays, il y a deux semaines, l’armée sénégalaise a perdu une dizaine de soldats dans des attaques supposées être le fait des indépendantistes du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC). Cinq soldats sont détenus par le MFDC, selon l’état-major général des Armées sénégalaises.
Le Mouvement Tekki, dirigé par Mamadou Lamine Diallo, un fonctionnaire international et ancien conseiller de Premiers ministres du Sénégal, « en appelle encore à des concertations nationales sur la question (le conflit en Casamance), comme le recommandaient les Assises nationales », une concertation menée de juin 2008 à mai 2009 par plusieurs segments socioprofessionnels du pays.
Le Mouvement Tekki « salue la grande mobilisation citoyenne du 23 décembre 2011 pour s’opposer à la candidature inconstitutionnelle du président [Abdoulaye] Wade et demande au M-23 d’intensifier la lutte pour faire aboutir sa plateforme revendicative ».
Le M-23 fédère des partis de l’opposition et des organisations de la société civile contestant la candidature du président Wade à l’élection présidentielle du 26 février prochain.