Le porte-parole du président de la République a, clairement indiqué que «toute personne convoquée par la police répondra ou la police ira le chercher. Je ne suis pas au courant de la convocation de cette personne (Baye Moussé Ba «Bro», NDLR) dont vous parlez. Je n’ai pas la preuve de la convocation de ce garde du corps. On verra si cette personne est impliquée».
Dans la même veine, il a fait savoir : «nous voulons dire, de manière claire et précise, que cette affaire est aujourd’hui entre les mains de la police qui a la responsabilité de la gérer en toute indépendance, en toute liberté et en toute transparence. Que la justice, en toute indépendance, puisse faire son travail et que les Sénégalais comprennent qu’il appartient à la police et à la justice de faire le travail qui leur est confié».
Serigne Mbacké Ndiaye a, par ailleurs, souligné que «personne n’a intérêt à voir de la violence dans le pays, surtout le camp présidentiel, surtout le Président lui-même». Dans le même sillage, il a condamné les milices et les nervis de façon la plus énergétique. «Tout ce qui est violence doit être condamné énergiquement», a-t-il martelé. En ajoutant : «Donc les milices, les nervis qui sont des gens n’appartenant à aucun camp et guettant la moindre occasion, il faut les mettre hors d’état de nuire».
Dans la même veine, il a fait savoir : «nous voulons dire, de manière claire et précise, que cette affaire est aujourd’hui entre les mains de la police qui a la responsabilité de la gérer en toute indépendance, en toute liberté et en toute transparence. Que la justice, en toute indépendance, puisse faire son travail et que les Sénégalais comprennent qu’il appartient à la police et à la justice de faire le travail qui leur est confié».
Serigne Mbacké Ndiaye a, par ailleurs, souligné que «personne n’a intérêt à voir de la violence dans le pays, surtout le camp présidentiel, surtout le Président lui-même». Dans le même sillage, il a condamné les milices et les nervis de façon la plus énergétique. «Tout ce qui est violence doit être condamné énergiquement», a-t-il martelé. En ajoutant : «Donc les milices, les nervis qui sont des gens n’appartenant à aucun camp et guettant la moindre occasion, il faut les mettre hors d’état de nuire».