En effet dans cette affaire le Procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye avait très tôt jeté son dévolu sur le policier Tombong Oualy comme l’unique coupable du meurtre de Bassirou Faye. Mais c’était sans compter avec le Doyen des juges Mahawa Sémou Diouf qui a prononcé un non-lieu pour Tombong Oualy. Le Doyen des juges a toutefois désigné son coupable en la personne de Sidy Mouhamed Boughaleb, un autre policier. Le procureur de la République n’a pas tardé à faire appel de cette ordonnance de non-lieu.
Il faut dire que dés la sortie de l’ordonnance de renvoi prise par le Doyen des juges, des voix se sont faites entendre pour dire que ce dossier est loin de connaitre son épilogue et l’appel du Procureur prouve une fois que l’affaire Bassirou Faye est partie pour secouer la justice. Ainsi de rebondissements en rebondissements, le meurtre de l’étudiant en première année de mathématiques est très loin de révéler toutes ces vérités. Libres aujourd’hui les deux policiers à savoir Tombong Oualy et Saliou Ndao peuvent si l’appel du procureur aboutit, se retrouver une nouvelle arrêtés, sert "leQuotidien". En attendant le duel à distance entre les deux hommes de justice continu, des batailles de procédures qui irritent les proches de l’étudiant tué qui ne cessent depuis un an de réclamer toute la lumière sur cette affaire de meurtre.
Il faut dire que dés la sortie de l’ordonnance de renvoi prise par le Doyen des juges, des voix se sont faites entendre pour dire que ce dossier est loin de connaitre son épilogue et l’appel du Procureur prouve une fois que l’affaire Bassirou Faye est partie pour secouer la justice. Ainsi de rebondissements en rebondissements, le meurtre de l’étudiant en première année de mathématiques est très loin de révéler toutes ces vérités. Libres aujourd’hui les deux policiers à savoir Tombong Oualy et Saliou Ndao peuvent si l’appel du procureur aboutit, se retrouver une nouvelle arrêtés, sert "leQuotidien". En attendant le duel à distance entre les deux hommes de justice continu, des batailles de procédures qui irritent les proches de l’étudiant tué qui ne cessent depuis un an de réclamer toute la lumière sur cette affaire de meurtre.