Le marathon judiciaire qui a assez duré, continue encore de faire parler de lui. Bocar Samba Dieye a fait face à la presse pour dénoncer ‘’une volonté malveillante de lui arracher sa victoire’’. Après que la justice a condamné la Compagnie Bancaire de l'Afrique Occidentale (CBAO), filiale du groupe Attijariwafa Bank, à verser 11 milliards de FCFA à l’opérateur économique et commerçant, voila que l’affaire prend encore un nouvelle tournure.
La CBAO estime avoir fait un appel sur la base duquel un jugement par défaut a été organisé et que Bocar Samba Dieye a été débouté.
« Nous sentons une volonté malveillante de nous arracher notre victoire par des subterfuges et stratagèmes judiciaires qui ne sont fondés ni en éthique ni en droit. Contre le monstre financier qu'est la CBAO, tout Sénégalais y compris les acteurs de la justice, la CBAO a abusé de l'état d'analphabétisme de Bocar Samba Dieye pour saisir illégalement ses biens acquis après plus d'un demi-siècle (65 ans) de dur et honnête labeur. La CBAO n'a aucune créance certaine, exigible et justifiée au regard de la doctrine et de la réglementation bancaire au point de saisir les immeubles de Bocar S. Dièye. La CBAO depuis 2008 donne dans le faux, la corruption et use de procédures abusives en complicité avec certains acteurs que nous avons identifiés et dénoncerons le moment venu pour confisquer et s'asseoir sur les biens de B. S. Dieye. La CBAO que tous les Sénégalais y compris les juges connaissent les pratiques frauduleuses, pour en avoir été victimes, continue, malgré tout, à se maintenir injustement sur les biens de B. S Dièye sous le regard complice des régulateurs », a déclaré Famara Ibrahima Cissé.
Par ailleurs, le président de l’Association des Clients et Sociétaires des Institutions Financières (ACSIF) invite le peuple sénégalais à renouveler et à continuer à surveiller minutieusement cette affaire et à réagir le moment venu pour le respect des droits de Bocar Samba Dieye et pour barrer la route à l'injustice qu’il continue à observer dans cette affaire.
« Je rappelle que cette affaire a trop longtemps duré. C’est une affaire qui date de 2018. Depuis lors, plusieurs procédures ont été enclenchées par les deux parties. Et les dernières informations concernant la Cour d’Appel, la décision de la justice à débouté la CBAO. Et aujourd’hui encore une décision de justice a débouté et demandé à la banque de réparer les dommages qui ont été causés a B. S. Dièye. Ces dommages s’élèvent à 11 milliards de F CFA. Parce qu’il a injustement et illégalement saisi ses biens pour les vendre…. Je précise que la CBAO a été soutenue par le royaume du Maroc sur toute la ligne. Nous avons interpellé l’État du Sénégal pour que soutien soit apporté à Bocar Samba Dièye. La CBAO n’a pas de papier qui justifie que Bocar lui doit de l’argent. Nos avocat sont entrain de rédiger un rabat d’arrêt. Il faudrait que cela soit recevable par la Cour. Parce qu’il y a eu beaucoup de difformité dans la procédure d’appel de la CBAO. Le premier n’a pas été enregistré et le deuxième appel n’a pas annulé le premier. Les juristes savent que si un tel acte se produit, l’appel est nul et non avenu. Donc on ne peut pas le juger par défaut », précise Famara Ibrahima Cissé.
La CBAO estime avoir fait un appel sur la base duquel un jugement par défaut a été organisé et que Bocar Samba Dieye a été débouté.
« Nous sentons une volonté malveillante de nous arracher notre victoire par des subterfuges et stratagèmes judiciaires qui ne sont fondés ni en éthique ni en droit. Contre le monstre financier qu'est la CBAO, tout Sénégalais y compris les acteurs de la justice, la CBAO a abusé de l'état d'analphabétisme de Bocar Samba Dieye pour saisir illégalement ses biens acquis après plus d'un demi-siècle (65 ans) de dur et honnête labeur. La CBAO n'a aucune créance certaine, exigible et justifiée au regard de la doctrine et de la réglementation bancaire au point de saisir les immeubles de Bocar S. Dièye. La CBAO depuis 2008 donne dans le faux, la corruption et use de procédures abusives en complicité avec certains acteurs que nous avons identifiés et dénoncerons le moment venu pour confisquer et s'asseoir sur les biens de B. S. Dieye. La CBAO que tous les Sénégalais y compris les juges connaissent les pratiques frauduleuses, pour en avoir été victimes, continue, malgré tout, à se maintenir injustement sur les biens de B. S Dièye sous le regard complice des régulateurs », a déclaré Famara Ibrahima Cissé.
Par ailleurs, le président de l’Association des Clients et Sociétaires des Institutions Financières (ACSIF) invite le peuple sénégalais à renouveler et à continuer à surveiller minutieusement cette affaire et à réagir le moment venu pour le respect des droits de Bocar Samba Dieye et pour barrer la route à l'injustice qu’il continue à observer dans cette affaire.
« Je rappelle que cette affaire a trop longtemps duré. C’est une affaire qui date de 2018. Depuis lors, plusieurs procédures ont été enclenchées par les deux parties. Et les dernières informations concernant la Cour d’Appel, la décision de la justice à débouté la CBAO. Et aujourd’hui encore une décision de justice a débouté et demandé à la banque de réparer les dommages qui ont été causés a B. S. Dièye. Ces dommages s’élèvent à 11 milliards de F CFA. Parce qu’il a injustement et illégalement saisi ses biens pour les vendre…. Je précise que la CBAO a été soutenue par le royaume du Maroc sur toute la ligne. Nous avons interpellé l’État du Sénégal pour que soutien soit apporté à Bocar Samba Dièye. La CBAO n’a pas de papier qui justifie que Bocar lui doit de l’argent. Nos avocat sont entrain de rédiger un rabat d’arrêt. Il faudrait que cela soit recevable par la Cour. Parce qu’il y a eu beaucoup de difformité dans la procédure d’appel de la CBAO. Le premier n’a pas été enregistré et le deuxième appel n’a pas annulé le premier. Les juristes savent que si un tel acte se produit, l’appel est nul et non avenu. Donc on ne peut pas le juger par défaut », précise Famara Ibrahima Cissé.