Dans un communiqué publié mardi dernier, le Front pour une Révolution Anti-impérialiste, Populaire et Panafricaine (FRAPP-France dégage) a indiqué qu’un détenu a été « torturé » à la Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss. Guy Marius Sagna et ses camarades révélaient que le détenu en question s’en est sorti avec une "joue balafrée" et mêlent en cause un garde pénitentiaire qui, selon eux, est un habitué des faits.
Des accusations de torture que l'Administration pénitentiaire rejette "fermement".
Par contre elle admet une altercation entre le détenu et un agent.
" Il y a certes eu une altercation entre le détenu Cheikh THIAM et un agent pénitentiaire le samedi 23 septembre et non le mardi 26 septembre mais il n'en est résulté aucune blessure. Les informations faisant cas de blessures (balafres) à la Joue du détenu avec l'usage de matraque s'avèrent non fondées", se défend l'Administration pénitentiaire dans un communiqué.
Alors pour élucider cet incident, "une enquête a été ouverte conformément aux lois et règlements en vigueur", annonce l'Administration pénitentiaire.
Des accusations de torture que l'Administration pénitentiaire rejette "fermement".
Par contre elle admet une altercation entre le détenu et un agent.
" Il y a certes eu une altercation entre le détenu Cheikh THIAM et un agent pénitentiaire le samedi 23 septembre et non le mardi 26 septembre mais il n'en est résulté aucune blessure. Les informations faisant cas de blessures (balafres) à la Joue du détenu avec l'usage de matraque s'avèrent non fondées", se défend l'Administration pénitentiaire dans un communiqué.
Alors pour élucider cet incident, "une enquête a été ouverte conformément aux lois et règlements en vigueur", annonce l'Administration pénitentiaire.