Yassine Ferchichi a entamé depuis hier une grève de la faim suite à la décision de l’Etat sénégalais d’arrêter de le prendre en charge. En effet, le Sénégal a notifier à M. Ferchichi un ressortissant tunisien qu’il ne le prenait plus en charge ainsi ce dernier demande à être rapatrier en France d’où il venait. Selon son avocat, Me Dioma Ndiaye : « nous n’accepterons pas que Ferchichi soit clochardisé. C’est le Sénégal qui a proposé à la face du monde qu’il allait lui offrir l’hospitalité. Ainsi s’il décide arrêter de le prendre en charge, il sera à la rue sans aucune ressource financière». Pour toute solution, son avocat demande qu’il soit renvoyé en France afin qu’il puisse poursuivre la procédure qu’il avait entamé.
Yassine Ferchichi, quant’ à lui ne comprend pas ce qui lui arrive: « je n’ai pas demandé de venir au Sénégal, c’est à l’aéroport Charles de Gaulle que l’on m’a notifié que le Sénégal m’offrait l’hospitalité pour des raisons humanitaires. J’ai refusé et on m’a forcé. Mon avocat a fait savoir à la France qu’elle n’avait pas le droit de m’expulser avant que le Sénégal n’ait notifié sa volonté de m’accueillir et de me prendre en charge , mais la France a outrepassé ses prérogatives».
Le Président de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), M. Alioune Tine demande au Sénégal "d’aider concrètement ce ressortissant de la Tunisie à se réinsérer dans la société et d’arrêter les humiliations permanentes qu’ils lui font subir par le biais de l’administration". Son ami, Makaila Nguebla confie que "Yassine est dans la détresse absolue, il n’a plus de moral. Tout ce qu’il peut faire pour lui a-t-il confié c’est de l’héberger s’il était expulser de l’hôtel en attendant qu’une solution soit trouvée ». Même son frère a été interpellé par la police Tunisienne à cause de lui ajout-il.
Yassine Ferchichi, quant’ à lui ne comprend pas ce qui lui arrive: « je n’ai pas demandé de venir au Sénégal, c’est à l’aéroport Charles de Gaulle que l’on m’a notifié que le Sénégal m’offrait l’hospitalité pour des raisons humanitaires. J’ai refusé et on m’a forcé. Mon avocat a fait savoir à la France qu’elle n’avait pas le droit de m’expulser avant que le Sénégal n’ait notifié sa volonté de m’accueillir et de me prendre en charge , mais la France a outrepassé ses prérogatives».
Le Président de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), M. Alioune Tine demande au Sénégal "d’aider concrètement ce ressortissant de la Tunisie à se réinsérer dans la société et d’arrêter les humiliations permanentes qu’ils lui font subir par le biais de l’administration". Son ami, Makaila Nguebla confie que "Yassine est dans la détresse absolue, il n’a plus de moral. Tout ce qu’il peut faire pour lui a-t-il confié c’est de l’héberger s’il était expulser de l’hôtel en attendant qu’une solution soit trouvée ». Même son frère a été interpellé par la police Tunisienne à cause de lui ajout-il.