« Le gouvernement ferait mieux d’édifier les Sénégalais sur les véritables tenants et aboutissants de l’affaire Global Voice ». Telle est l’une des requêtes du parti socialiste exprimé dans un communiqué rendu public par le bureau politique dudit parti politique. Une requête qui se base sur le fait que « les Sénégalais n’ont pas encore pris connaissance du contrat et, ou cahier de charges contenant les droits et obligations des parties », selon le communiqué. Tout est flou dans cette affaire obnubilée par « une mauvaise gouvernance patente de l’Etat ».
L’arrivée de Global Voice chargée de faire le point sur le nombre d’appels internationaux entrants sur le territoire sénégalais est au cœur de l’actualité depuis plus de quinze jours. Ce, parce qu’une des sociétés de téléphonie établies au Sénégal, notamment la Sonatel, s’oppose à l’arrivée de ce groupe. Le bureau politique du Ps la soutient car « la seule activité de la Sonatel a généré le quart de la croissance nationale et produit 12% des recettes fiscales de l’Etat en 2009 ». Par conséquent, « il s’agit là d’une véritable niche de croissance à deux chiffres qui pouvait valablement être la locomotive d’une croissance nationale plombée par les conséquences fâcheuses de la destruction de l’économie sénégalaise par Abdoulaye Wade ». Ceci, même s’il est d’accord qu’il faut lutter contre la fraude sur le trafic international. Cependant, ce travail devait être confié aux experts nationaux et non à des étrangers selon le Bp. Encore que, renseigne le communiqué « on ne peur manquer de s’interroger sur l’opportunité qu’il y avait à instaurer ce qu’il faut bien appeler une surtaxe sur le trafic international qui vient, malgré les dénégations, obérer davantage le pouvoir d’achat des Sénégalais, surtout de nos compatriotes vivant à l’extérieur ».
Aussi, ce projet n’est « qu’un partage de recettes synonyme d’un véritable appauvrissement sans cause pour la Nation et d’un véritable enrichissement sans cause pour Global Voice ».
L’arrivée de Global Voice chargée de faire le point sur le nombre d’appels internationaux entrants sur le territoire sénégalais est au cœur de l’actualité depuis plus de quinze jours. Ce, parce qu’une des sociétés de téléphonie établies au Sénégal, notamment la Sonatel, s’oppose à l’arrivée de ce groupe. Le bureau politique du Ps la soutient car « la seule activité de la Sonatel a généré le quart de la croissance nationale et produit 12% des recettes fiscales de l’Etat en 2009 ». Par conséquent, « il s’agit là d’une véritable niche de croissance à deux chiffres qui pouvait valablement être la locomotive d’une croissance nationale plombée par les conséquences fâcheuses de la destruction de l’économie sénégalaise par Abdoulaye Wade ». Ceci, même s’il est d’accord qu’il faut lutter contre la fraude sur le trafic international. Cependant, ce travail devait être confié aux experts nationaux et non à des étrangers selon le Bp. Encore que, renseigne le communiqué « on ne peur manquer de s’interroger sur l’opportunité qu’il y avait à instaurer ce qu’il faut bien appeler une surtaxe sur le trafic international qui vient, malgré les dénégations, obérer davantage le pouvoir d’achat des Sénégalais, surtout de nos compatriotes vivant à l’extérieur ».
Aussi, ce projet n’est « qu’un partage de recettes synonyme d’un véritable appauvrissement sans cause pour la Nation et d’un véritable enrichissement sans cause pour Global Voice ».
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