Les syndicalistes du Sudes reviennent dans ce communiqué à la charge pour apporter des clarifications que l'on peut désormais appelée " affaire IFAN et Ismaila Madior Fall". Dans ce méli-mélo, le professeur de droit était obligé de briser le silence, donnant ainsi sa version des faits dans un communiqué. Ainsi, disait-il , " j' ai introduit une demande auprès du Recteur dont seul un début d'instruction provoque des cris d'orfraie de syndicalistes à qui il faut rappeler l'histoire intellectuelle et la vocation pluridisciplinaire de l'IFAN, mais aussi la vocation hospitalière de celui-ci qui a fait sa réputation". Bref, pour l'ancien ministre sous Macky Sall les syndicalistes du Sudes sont "ignorants du droit".
Aujourd'hui, c'est le Sudes qui revient à la charge opposant des arguments au professeur Fall et au porte-parole du Recteur. Ce dernier avait également fait une sortie pour se mêler aux débats.
Au stade actuel, le Sudes se réjouit "d'avoir réussi à mettre à nu les manœuvres illégales pour caser enseignant-chercheur fut il un ancien ministre". Auparavant, les pourfendeurs de cette décision du Recteur ont rappelé la chronologie et les incohérences de cette initiative. "Le Recteur de l'Ucad avait consulté le directeur de l'IFAN pour une affectation du professeur Fall dans cet institut. Ce dernier en a informé l'Assemblée des chercheurs de l'IFAN, le 30 avril 2024 et non le 6 mai, ainsi que l'affirme le porte-parole du Recteur". De l'avis de ces syndicalistes, cette démarche constitue "une violation flagrante du décret n° 84-1184 du 13 octobre 1983 qui régit l'IFAN".
Au regard, de la sortie de monsieur Fall qualifiant ses collègues "d'ignorants du droit", les membres du Sudes opposent simplement à l'ancien ministre d'avoir une connaissance "approximative du décret qui organise l'IFAN". Sur ce, le Sudes de préciser que sa démarche n'est motivée que par "le souci du respect des textes".
Par ailleurs, les enseignants du Sudes ont exprimé "leur profonde inquiétude face à l'attitude inconvenante du Professeur Madior Fall et du Recteur vis-à-vis des textes qui régissent nos institutions et exigent du Recteur le respect stricte des textes".
Aujourd'hui, c'est le Sudes qui revient à la charge opposant des arguments au professeur Fall et au porte-parole du Recteur. Ce dernier avait également fait une sortie pour se mêler aux débats.
Au stade actuel, le Sudes se réjouit "d'avoir réussi à mettre à nu les manœuvres illégales pour caser enseignant-chercheur fut il un ancien ministre". Auparavant, les pourfendeurs de cette décision du Recteur ont rappelé la chronologie et les incohérences de cette initiative. "Le Recteur de l'Ucad avait consulté le directeur de l'IFAN pour une affectation du professeur Fall dans cet institut. Ce dernier en a informé l'Assemblée des chercheurs de l'IFAN, le 30 avril 2024 et non le 6 mai, ainsi que l'affirme le porte-parole du Recteur". De l'avis de ces syndicalistes, cette démarche constitue "une violation flagrante du décret n° 84-1184 du 13 octobre 1983 qui régit l'IFAN".
Au regard, de la sortie de monsieur Fall qualifiant ses collègues "d'ignorants du droit", les membres du Sudes opposent simplement à l'ancien ministre d'avoir une connaissance "approximative du décret qui organise l'IFAN". Sur ce, le Sudes de préciser que sa démarche n'est motivée que par "le souci du respect des textes".
Par ailleurs, les enseignants du Sudes ont exprimé "leur profonde inquiétude face à l'attitude inconvenante du Professeur Madior Fall et du Recteur vis-à-vis des textes qui régissent nos institutions et exigent du Recteur le respect stricte des textes".
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