La vidéo filmée par un employé des ICS Taïba, une société de vente de béton, à Darou Khoudoss (Tivaouane) montrant trois hommes dont deux Chinois et un Sénégalais, plaquant au sol une personne, qui crie de toutes ses forces continue de susciter indignation. Sur la vidéo on peut voir l’un des assaillants poser son genou sur le cou de la victime, un chauffeur employé de ladite société.
Rejoignant la vague d’indignation, la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) condamne les « traitements cruels, inhumains et dégradants perpétrés contre un chauffeur ». Dans un rapport d’enquête qu’elle a consacré à cette affaire, la RADDHO fait part de son « indignation » et de sa « vive préoccupation ».
Dans un communiqué, l’organisation de défense des droits de l’homme dit être vivement préoccupée par ces actes « ignobles et inexplicables » et dénonce « la violation de l’intégrité physique de la victime et les actes de torture perpétrés sur Ibrahima Fall ». Considérant que ces « actes de torture et traitements cruels, inhumains et dégradants portent atteinte à la dignité humaine et aux droits fondamentaux de la personne humaine ».
Félicitant la gendarmerie pour « la célérité » dont elle fait preuve dans la prise en charge de ce cas de torture. La RADDHO demande au procureur de la République de « veiller à l’application stricte de la loi » et interpelle l’opinion publique et internationale, ainsi que les autorités consulaires et diplomatiques de la Chine, sur « ces actes de plus en plus récurrents de violence de ressortissants chinois sur des travailleurs sénégalais et ou africains ».
La RADDHO recommande au ministre des Affaires étrangères, au Premier ministre et au président de la République de « saisir avec fermeté les autorités consulaires et diplomatiques chinoises pour déplorer et s’indigner du comportement odieux de certains de leurs ressortissants qui n'honorent aucun État moderne » , lit-on dans le document.
A noter que les mis en cause, présumés coupables de coups et blessures, ont été déférés au parquet, mercredi, et placés sous mandat de dépôt. Ils sont poursuivis en même temps en justice pour vol et complicité de vol. L’affaire sera jugée le 26 juin.
Rejoignant la vague d’indignation, la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) condamne les « traitements cruels, inhumains et dégradants perpétrés contre un chauffeur ». Dans un rapport d’enquête qu’elle a consacré à cette affaire, la RADDHO fait part de son « indignation » et de sa « vive préoccupation ».
Dans un communiqué, l’organisation de défense des droits de l’homme dit être vivement préoccupée par ces actes « ignobles et inexplicables » et dénonce « la violation de l’intégrité physique de la victime et les actes de torture perpétrés sur Ibrahima Fall ». Considérant que ces « actes de torture et traitements cruels, inhumains et dégradants portent atteinte à la dignité humaine et aux droits fondamentaux de la personne humaine ».
Félicitant la gendarmerie pour « la célérité » dont elle fait preuve dans la prise en charge de ce cas de torture. La RADDHO demande au procureur de la République de « veiller à l’application stricte de la loi » et interpelle l’opinion publique et internationale, ainsi que les autorités consulaires et diplomatiques de la Chine, sur « ces actes de plus en plus récurrents de violence de ressortissants chinois sur des travailleurs sénégalais et ou africains ».
La RADDHO recommande au ministre des Affaires étrangères, au Premier ministre et au président de la République de « saisir avec fermeté les autorités consulaires et diplomatiques chinoises pour déplorer et s’indigner du comportement odieux de certains de leurs ressortissants qui n'honorent aucun État moderne » , lit-on dans le document.
A noter que les mis en cause, présumés coupables de coups et blessures, ont été déférés au parquet, mercredi, et placés sous mandat de dépôt. Ils sont poursuivis en même temps en justice pour vol et complicité de vol. L’affaire sera jugée le 26 juin.