Comme on pouvait s’y attendre, la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) a rejeté, ce lundi, la demande de liberté d’office, introduite par les avocats de Karim Wade. En effet, les conseils de l’ancien ministre, ont motivé leur démarche par le fait que Wade fils est retenu arbitrairement par une juridiction incompétente en l’occurrence la CREI. Pis la durée de détention de leur protégé, pestent les conseils du fils de l’ancien président, Abdoulaye Wade, « ne devait pas dépasser 6 mois comme le prévoit la Cour de justice de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest ».
Or, précisent les avocats de Karim Wade, leur client est en prison depuis 14 mois. Alors que rappellent, les robes noires, la loi sur la Crei et le Code de procédure Pénale disposent « passé les 6 mois, le détenu doit être jugé ou libéré ». « Le second mandat de dépôt décerné à Karim Wade n’est qu’un simple artifice, puisqu’il est resté 6 mois sans être entendu ». Dans le cadre du fumeux dossier du fils du président sortant Wade, on s'achemine inéluctablement vers le procès programmé le 31 juillet prochain.
Or, précisent les avocats de Karim Wade, leur client est en prison depuis 14 mois. Alors que rappellent, les robes noires, la loi sur la Crei et le Code de procédure Pénale disposent « passé les 6 mois, le détenu doit être jugé ou libéré ». « Le second mandat de dépôt décerné à Karim Wade n’est qu’un simple artifice, puisqu’il est resté 6 mois sans être entendu ». Dans le cadre du fumeux dossier du fils du président sortant Wade, on s'achemine inéluctablement vers le procès programmé le 31 juillet prochain.