L'ex-ministre de l'Energie sous Me Wade, Samuel Sarr n'à pas tardé à réagir sur le verdict de la juridiction suprême confirmant l'arrêt rendu le 23 mars dernier par Henry Grégoire Diop et Cie, sur la condamnation de Karim Wade. Le membre du Comité directeur et du Secrétariat national du parti démocratique Sénégalaise en rejetant les pourvois de la défense, a fait savoir que: « la Cour Suprême a apporté une réponse politique à notre question de droit ».
« Nous sommes déçus par ce verdict, car nous avions cru, qu'au moins, quatre (04) des recours déposés par les avocats de Karim Wade allaient être acceptés par la Cour suprême qui aurait, ainsi sauvé la face de la justice, mais que non", souligne Samuel Sarr. A ce titre, ajoute t'il « en réagissant ainsi, la Cour suprême nous conforte à constater l'absence de l'Etat de droit du Sénégal ». Pour Samuel Sarr, « il y a de quoi se désoler de notre démocratique et de l'Etat de Droit au Sénégal. Commettre l'injustice n'est- il pas pire que de la subir? », s'interroge t-il, dans les colonnes du journal « Libération ».
« Nous sommes déçus par ce verdict, car nous avions cru, qu'au moins, quatre (04) des recours déposés par les avocats de Karim Wade allaient être acceptés par la Cour suprême qui aurait, ainsi sauvé la face de la justice, mais que non", souligne Samuel Sarr. A ce titre, ajoute t'il « en réagissant ainsi, la Cour suprême nous conforte à constater l'absence de l'Etat de droit du Sénégal ». Pour Samuel Sarr, « il y a de quoi se désoler de notre démocratique et de l'Etat de Droit au Sénégal. Commettre l'injustice n'est- il pas pire que de la subir? », s'interroge t-il, dans les colonnes du journal « Libération ».
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