Plus de 3 mois se sont écoulés depuis l'éclatement du scandale de la pouponnière "Keur Yeurmandé" en décembre 2023. Cette affaire refait surface avec une demande formulée par la fondatrice de cet établissement Ndella Madior Diouf qui, selon une source, a saisi le juge d'instruction pour obtenir une liberté provisoire.
Selon le journal les Échos, Après 3 mois en prison, Ndella Madior Diouf a déposé une demande de liberté provisoire. La balle est désormais dans le camp du magistrat instructeur. Il reste à voir s'il accordera la liberté provisoire à la directrice de la radio Saphir Fm. Étant donné qu'il y a des délais à respecter dans une procédure de demande de liberté provisoire, le juge d'instruction a moins d'une semaine pour statuer sur la demande de Ndella Madior Diouf.
Dans cette affaire, il faut rappeler que Ndella Madior Diouf a été cueillie par la Brigade de protection de la Sûreté urbaine, parce que tout simplement des vidéos filmées dans sa pouponnière, montrant des enfants victimes de maltraitance, circulaient sur les réseaux sociaux.
Il s'y ajoute qu'une nourrice qui a démissionné de Keur Yeurmandé a fait de graves révélations sur les difficiles conditions de vie des enfants qui y sont logés. Certaines nounous qui ont été interrogées ont révélé que les biberons étaient préparés avec de l'eau de robinet et parfois mélangés à du sel.
Selon le journal les Échos, Après 3 mois en prison, Ndella Madior Diouf a déposé une demande de liberté provisoire. La balle est désormais dans le camp du magistrat instructeur. Il reste à voir s'il accordera la liberté provisoire à la directrice de la radio Saphir Fm. Étant donné qu'il y a des délais à respecter dans une procédure de demande de liberté provisoire, le juge d'instruction a moins d'une semaine pour statuer sur la demande de Ndella Madior Diouf.
Dans cette affaire, il faut rappeler que Ndella Madior Diouf a été cueillie par la Brigade de protection de la Sûreté urbaine, parce que tout simplement des vidéos filmées dans sa pouponnière, montrant des enfants victimes de maltraitance, circulaient sur les réseaux sociaux.
Il s'y ajoute qu'une nourrice qui a démissionné de Keur Yeurmandé a fait de graves révélations sur les difficiles conditions de vie des enfants qui y sont logés. Certaines nounous qui ont été interrogées ont révélé que les biberons étaient préparés avec de l'eau de robinet et parfois mélangés à du sel.