A la surprise de tout le monde, la Cour d’Appel n’a pas suivi le réquisitoire de l’avocat général qui demandait le maintien de la peine de 2 ans ferme. Selon le jour « L’Observateur », les magistrats ont été cléments dans leur décision qui sera rendue publique ce lundi dans la matinée au tribunal régional de Dakar, en revoyant à la baisse la peine de 2 ans ferme, prononcée par le tribunal de première instance.
Mais les magistrats « n’écartent pas le délit d’outrance à magistrats ». L’acte de Malick Noël Seck, pour les magistrats du Parquet n’est qu’un avertissement pour le futur. « L’acte commis par Malick Noël Seck ne pouvait pas rester impuni. Parce que ce serait un précédent dangereux dans le pays qu’on laisse des gens menacer des magistrats. Il faut que les politiques et le professionnel du droit. Car, la sécurité d’un pays repose sur la fiabilité de son fonctionnement judiciaire » affirment les magistrats du Parquet.
Le jeune socialiste qui était le 19 décembre dernier devant la barre de la Cour d’Appel de Dakar, a assumé le contenu de la lettre incriminée. Mais il a fait savoir aux magistrats de la Cour que sa démarche n’a pas été bien comprise par le tribunal. Pour lui, c’est « tout juste un acte citoyen ».
Une astuce qui n’a pas été convaincante pour l’avocat général. Car il a jugé l’affaire « extrêmement grave ».
C’est une correspondance qui a été la goutte d’eau de trop. Le secrétaire général de Convergence socialiste s’était rendu au siège du Conseil constitutionnel et au domicile de son président pour y déposer une lettre. Une note dans laquelle, le jeune socialiste a demandé aux cinq (5) sages du Conseil constitutionnel de ne pas valider la candidature du chef de l’Etat « pour un troisième mandat à l’élection présidentielle de 2012 ».
Mais les magistrats « n’écartent pas le délit d’outrance à magistrats ». L’acte de Malick Noël Seck, pour les magistrats du Parquet n’est qu’un avertissement pour le futur. « L’acte commis par Malick Noël Seck ne pouvait pas rester impuni. Parce que ce serait un précédent dangereux dans le pays qu’on laisse des gens menacer des magistrats. Il faut que les politiques et le professionnel du droit. Car, la sécurité d’un pays repose sur la fiabilité de son fonctionnement judiciaire » affirment les magistrats du Parquet.
Le jeune socialiste qui était le 19 décembre dernier devant la barre de la Cour d’Appel de Dakar, a assumé le contenu de la lettre incriminée. Mais il a fait savoir aux magistrats de la Cour que sa démarche n’a pas été bien comprise par le tribunal. Pour lui, c’est « tout juste un acte citoyen ».
Une astuce qui n’a pas été convaincante pour l’avocat général. Car il a jugé l’affaire « extrêmement grave ».
C’est une correspondance qui a été la goutte d’eau de trop. Le secrétaire général de Convergence socialiste s’était rendu au siège du Conseil constitutionnel et au domicile de son président pour y déposer une lettre. Une note dans laquelle, le jeune socialiste a demandé aux cinq (5) sages du Conseil constitutionnel de ne pas valider la candidature du chef de l’Etat « pour un troisième mandat à l’élection présidentielle de 2012 ».
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