C’est un crime au firmament monté sur de tranchants filaments, une sale affaire d’escroquerie, du charlatanisme et de meurtre, qui dépasse l’entendement. Il secoue la communauté libanaise dakaroise et risque de refroidir les relations diplomatiques entre le Sénégal et la Mauritanie. Une affaire de grand banditisme donc, qui met en vedette Nasrine Dagher, repris de justice, escroc notoire, emprisonnée puis libérée récemment à Nouakchott, malgré un mandat d’arrêt international émis par Dakar.
L’histoire commence avec des accents de conte pour enfant. Ces fables qu’on sert parfois aux mômes pour les endormir. Mais qui finissent dans la tragique réalité d’un touchant mélodrame ayant rongé toute une famille, au propre comme au figuré. Le courant passe bien et Monsieur H ne se doute de rien. Il ne sait surtout pas que sa « fille » est un escroc notoire, une habituée des parloirs. Sans rien laisser transparaître, Nasrine cache son jeu dans une fausse amitié. En réalité, elle emploie de jeunes Sénégalais qui se font passé pour "ces esprits", elle racontera plus tard K H, fils ainé du vieux dans sa plainte déposée à la section de recherche de la gendarmerie nationale.
Adama Ndiaye, a, lui, reconnu avoir été recruté avec Pape Mansour Sarr par Nasrine pour jouer au « Djinn », mais il s’est retiré du projet, lorsque cette dernière lui a demandé d’attenter à la vie de K. H, le fils de Monsieur H. Une révélation de taille qui lui sera fatale quelques jours plus tard. Il va disparaître mystérieusement et sera enterré sans qu’on ne sache les véritables raisons de sa mort subite. « La veille de son décès, raconte le cadet de K. H, Pape Mansour a décidé de parler à son père, de lui dire toute la vérité. Mais l’information est arrivée à l’oreille de Nasrine et c’est elle qui l’a empoisonné ». Une thèse qui n’a pas été prise en compte par les forces de l’ordre.
M. H utilisé par le journal "l'observateur" pour ne pas troubler la victime trop atteinte par la sale affaire n'est toutefois pas la seule victime de Nasrine que pas de sept (7) plaintes attendent à Dakar dont celles de M. Hazim Saed Sakr, attaché administratif de l'ambassade d'Egypte au Sénégal.
L’histoire commence avec des accents de conte pour enfant. Ces fables qu’on sert parfois aux mômes pour les endormir. Mais qui finissent dans la tragique réalité d’un touchant mélodrame ayant rongé toute une famille, au propre comme au figuré. Le courant passe bien et Monsieur H ne se doute de rien. Il ne sait surtout pas que sa « fille » est un escroc notoire, une habituée des parloirs. Sans rien laisser transparaître, Nasrine cache son jeu dans une fausse amitié. En réalité, elle emploie de jeunes Sénégalais qui se font passé pour "ces esprits", elle racontera plus tard K H, fils ainé du vieux dans sa plainte déposée à la section de recherche de la gendarmerie nationale.
Adama Ndiaye, a, lui, reconnu avoir été recruté avec Pape Mansour Sarr par Nasrine pour jouer au « Djinn », mais il s’est retiré du projet, lorsque cette dernière lui a demandé d’attenter à la vie de K. H, le fils de Monsieur H. Une révélation de taille qui lui sera fatale quelques jours plus tard. Il va disparaître mystérieusement et sera enterré sans qu’on ne sache les véritables raisons de sa mort subite. « La veille de son décès, raconte le cadet de K. H, Pape Mansour a décidé de parler à son père, de lui dire toute la vérité. Mais l’information est arrivée à l’oreille de Nasrine et c’est elle qui l’a empoisonné ». Une thèse qui n’a pas été prise en compte par les forces de l’ordre.
M. H utilisé par le journal "l'observateur" pour ne pas troubler la victime trop atteinte par la sale affaire n'est toutefois pas la seule victime de Nasrine que pas de sept (7) plaintes attendent à Dakar dont celles de M. Hazim Saed Sakr, attaché administratif de l'ambassade d'Egypte au Sénégal.
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