Le Syndicat autonome des agents impôts et domaines (SAID) a appelé l’ensemble des forces sociales du Sénégal pour ce qui est convenu d’appeler le cas Ousmane Sonko. «Après avoir échangé, nous avons constaté que le décor est campé. Il s’agit de prendre des mesures administratives pour réprimer des mesures politiques. Après la suspension de l’inspecteur principal des Impôts et domaines, Ousmane Sonko, on le traduit devant un conseil de discipline qui est un tribunal taillé sur mesure. Cela veut dire qu'on va vers la radiation d’un fonctionnaire. Et cela est inadmissible…», déclare Mamadou Lamine Dianté du Grand Cadre désigné par le SAID avec Fadel Barro du mouvement Y en a marre pour être les porte-parole du jour.
Les forces sociales de ce pays se disent prêtes à engager le combat contre la radiation d’Ousmane Sonko, mais également pour préserver l’intérêt du peuple. Selon le Secrétaire général du SAID, Elimane Pouye, l’ensemble des agents des Impôts et domaines, en leur quasi-unanimité, soutiennent Ousmane Sonko dans cette lutte.
A l’en croire, « il ne s’agit pas de sa personne, mais c’est une utilisation abusive de l’administration pour des règlements de compte politique ».
Et d'ajouter : «Le droit de réserve ne s’aurait être invoqué. Pour la bonne et simple raison, que sur la suspension qui lui a été notifiée, aucun grief ne lui a été notifié».
Plusieurs syndicats et les organisations de défense des droits de l'homme et de la société civile ont répondu présent à la rencontre. A savoir, des syndicats des cadres d’employés de l’administration du Sénégal, syndicat national des cadre de l’administration du commerce, les central syndical, des syndicats d’enseignants l’UNSAS, SAEMS, le Grand Cadre, le M23, le Y'en a marre, le forum du Justiciable entre autres.
Les forces sociales de ce pays se disent prêtes à engager le combat contre la radiation d’Ousmane Sonko, mais également pour préserver l’intérêt du peuple. Selon le Secrétaire général du SAID, Elimane Pouye, l’ensemble des agents des Impôts et domaines, en leur quasi-unanimité, soutiennent Ousmane Sonko dans cette lutte.
A l’en croire, « il ne s’agit pas de sa personne, mais c’est une utilisation abusive de l’administration pour des règlements de compte politique ».
Et d'ajouter : «Le droit de réserve ne s’aurait être invoqué. Pour la bonne et simple raison, que sur la suspension qui lui a été notifiée, aucun grief ne lui a été notifié».
Plusieurs syndicats et les organisations de défense des droits de l'homme et de la société civile ont répondu présent à la rencontre. A savoir, des syndicats des cadres d’employés de l’administration du Sénégal, syndicat national des cadre de l’administration du commerce, les central syndical, des syndicats d’enseignants l’UNSAS, SAEMS, le Grand Cadre, le M23, le Y'en a marre, le forum du Justiciable entre autres.