L’ex-Secrétaire général de la Ligue démocratique (LD), Mamadou Ndoye, a analysé l’affaire de mœurs opposant le député Ousmane Sonko et une masseuse, Adji Raby Sarr. Invité du Jury du dimanche (JDD), ce 14 février, sur iRadio, M. Ndoye parle d’un « complot du pouvoir et d’une manipulation de l’accusatrice ». Selon lui, « la main de l’Etat est dans ce dossier ».
« Pour moi c’est très clair parce que la main du pouvoir est dans l’affaire. Premièrement, la célérité des forces de l’ordre qui a la possibilité d’accélérer une procédure pour moi c’est l’État », a-t-il analysé.
Avant d’ajouter : « le procureur met en priorité un tel dossier, pour moi encore une fois la main de l’État est là pour accélérer cette procédure pour lever l’immunité parlementaire qui demande l’action du ministre de la justice. Tout cela montre que la main de l’État est dans plusieurs points dans ce dossier là ».
L’ancien ministre de Base et des Langues nationales milite pour que tous ces gens de l’opposition qui sont en maille avec la justice notamment Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade puissent bénéficier d’ « une Amnesty ».
« Moi je m’en tiens aux principes. Le principe, c’est que tous les gens de l’opposition doivent retrouver leurs droits civiques. Quand la volonté politique est là, les modalités on les trouve facilement. Lorsqu’un pouvoir a besoin d’éliminer l’opposition, c’est tout sauf une démocratie », a-t-il pesté.
M. Ndoye de comparer l’affaire Khalifa Ababacar Sall et au cas d’Ousmane Sonko. « Je ne considérai pas l’affaire Khalifa Sall comme une simple affaire pénale. C’était une lutte politique, et le cas d’Ousmane Sonko est aussi une lutte politique. Et c’est important de le dire." Pourquoi ? "Parce que ça se joue l’avenir de la démocratie de notre pays. Est-ce que nous allons nous battre à partir de projets politiques ? Ou de lutte d’idées ? Ou bien est-ce que nous allons nous battre à partir de basses manœuvres ? De calomnies ? De dénigrements ? Voilà la question qui est posée ».
Analysant cette affaire, Mamadou Ndoye est d’avis que « Le président de la République Macky Sall est passé d’une intention à une volonté manifeste de vouloir se présenter pour un troisième mandat ». « Une candidature à laquelle il n’a pas le droit », a-t-il martelé.
« Pour moi c’est très clair parce que la main du pouvoir est dans l’affaire. Premièrement, la célérité des forces de l’ordre qui a la possibilité d’accélérer une procédure pour moi c’est l’État », a-t-il analysé.
Avant d’ajouter : « le procureur met en priorité un tel dossier, pour moi encore une fois la main de l’État est là pour accélérer cette procédure pour lever l’immunité parlementaire qui demande l’action du ministre de la justice. Tout cela montre que la main de l’État est dans plusieurs points dans ce dossier là ».
L’ancien ministre de Base et des Langues nationales milite pour que tous ces gens de l’opposition qui sont en maille avec la justice notamment Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade puissent bénéficier d’ « une Amnesty ».
« Moi je m’en tiens aux principes. Le principe, c’est que tous les gens de l’opposition doivent retrouver leurs droits civiques. Quand la volonté politique est là, les modalités on les trouve facilement. Lorsqu’un pouvoir a besoin d’éliminer l’opposition, c’est tout sauf une démocratie », a-t-il pesté.
M. Ndoye de comparer l’affaire Khalifa Ababacar Sall et au cas d’Ousmane Sonko. « Je ne considérai pas l’affaire Khalifa Sall comme une simple affaire pénale. C’était une lutte politique, et le cas d’Ousmane Sonko est aussi une lutte politique. Et c’est important de le dire." Pourquoi ? "Parce que ça se joue l’avenir de la démocratie de notre pays. Est-ce que nous allons nous battre à partir de projets politiques ? Ou de lutte d’idées ? Ou bien est-ce que nous allons nous battre à partir de basses manœuvres ? De calomnies ? De dénigrements ? Voilà la question qui est posée ».
Analysant cette affaire, Mamadou Ndoye est d’avis que « Le président de la République Macky Sall est passé d’une intention à une volonté manifeste de vouloir se présenter pour un troisième mandat ». « Une candidature à laquelle il n’a pas le droit », a-t-il martelé.
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