Le fameux Toto Sarr qui est mouillé pour sa part dans une affaire de l’arraisonnement d’un navire de guerre sur les côtes sénégalaises, était aux commandes de la DGPN lorsque des accusations de malversations dans la destination des drogues saisies par l’OCRTIS ont éclaté.
Le commissaire Abdoulaye Niang, chef de la section opérationnelle à l’époque, le scandale avait été géré en « interne et une enquête ouverte » avant que comme « mesure conservatoire, le commissaire ne soit relevé de ses fonctions de chef de l’OCRTIS » puis « évincé même de la Direction de la Police Judiciaire (DPJ).
Reversé à la Direction de la Sécurité Publique (DSP), le commissaire Niang a été par la suite affecté au commissariat urbain de Tambacounda, informe un gradé de la police qui souligne que « c’était un coup dur l’actuel DGPN » que l’enquête avait par la suite « totalement blanchi » sur les colonnes du journal « L’Observateur » qui fait état du passage du présumé « narcotrafiquant » à Thiès et à Guédiawaye avant qu’en mars 2000, les « autorités sentent la nécessité de le faire revenir pour diriger l’OCRTIS ».
La suite vous la connaissez.
Le commissaire Abdoulaye Niang, chef de la section opérationnelle à l’époque, le scandale avait été géré en « interne et une enquête ouverte » avant que comme « mesure conservatoire, le commissaire ne soit relevé de ses fonctions de chef de l’OCRTIS » puis « évincé même de la Direction de la Police Judiciaire (DPJ).
Reversé à la Direction de la Sécurité Publique (DSP), le commissaire Niang a été par la suite affecté au commissariat urbain de Tambacounda, informe un gradé de la police qui souligne que « c’était un coup dur l’actuel DGPN » que l’enquête avait par la suite « totalement blanchi » sur les colonnes du journal « L’Observateur » qui fait état du passage du présumé « narcotrafiquant » à Thiès et à Guédiawaye avant qu’en mars 2000, les « autorités sentent la nécessité de le faire revenir pour diriger l’OCRTIS ».
La suite vous la connaissez.