Rebondissement dans l’affaire Cheikh Hadjibou Soumaré placé sous contrôle judiciaire au mois de mars dernier. L’ancien Premier ministre du Sénégal est convoqué ce mercredi 07 juin, devant le juge du troisième cabinet d’instruction du tribunal de Dakar.
Selon sa cellule de communication qui donne l'information, cette convocation s'inscrit dans le cadre de l’enquête relative aux allégations qu’il avait faites à travers une lettre ouverte adressée au président de la République Macky Sall. Dans sa missive, M. Soumaré a posé 4 questions parmi lesquelles celle-ci : "avez-vous donné récemment de l’argent à une personnalité politique française ? Dans l’affirmative, est-ce un montant de 12 millions d’euros, soit 7,9 milliards argent d’un pays catalogué Pays Pauvre Très Endetté"
Réagissant à ladite lettre, le gouvernement, par la voix de son porte-parole, Abdou Karim Fofana, a rejeté et condamné "fermement de telles insinuations, lâches et sans fondement, qui témoignent manifestement d’une volonté maléfique de jeter le discrédit sur la personne du Président de la République, porter atteinte à l’Institution qu’il incarne et nuire aux relations entre le Sénégal et une puissance étrangère".
Pour rappel, le président du mouvement « Démocratie et République » avait été convoqué, puis déféré au Parquet en mars dernier, avant d’être placé sous contrôle judiciaire pour cette même affaire.
Selon sa cellule de communication qui donne l'information, cette convocation s'inscrit dans le cadre de l’enquête relative aux allégations qu’il avait faites à travers une lettre ouverte adressée au président de la République Macky Sall. Dans sa missive, M. Soumaré a posé 4 questions parmi lesquelles celle-ci : "avez-vous donné récemment de l’argent à une personnalité politique française ? Dans l’affirmative, est-ce un montant de 12 millions d’euros, soit 7,9 milliards argent d’un pays catalogué Pays Pauvre Très Endetté"
Réagissant à ladite lettre, le gouvernement, par la voix de son porte-parole, Abdou Karim Fofana, a rejeté et condamné "fermement de telles insinuations, lâches et sans fondement, qui témoignent manifestement d’une volonté maléfique de jeter le discrédit sur la personne du Président de la République, porter atteinte à l’Institution qu’il incarne et nuire aux relations entre le Sénégal et une puissance étrangère".
Pour rappel, le président du mouvement « Démocratie et République » avait été convoqué, puis déféré au Parquet en mars dernier, avant d’être placé sous contrôle judiciaire pour cette même affaire.